Gazette des beaux-arts: la doyenne des revues d'art (3. Pér. 40.1908)

• .:*î*7 r*rr---

") : l

ê

• • F. • '

7V™C( - . A '

VV" \

'vi

■ >--■> ; vAr-

A;

: Si ■ '

.. ;j ’yÀ f A vN :: P l PP \ : lJ /■ v - A

V / A •■ /■-f - - /: Vv--r"--'

j//

li

■

;

•Av

-‘Av

N AA

;

■ V-O ■ A. Ç

&T:

ENTERREMENT D’U N PAPE, DESSIN PAR ED ME BOUCHARDON
(Musée du Louvre.)

LA VIE ET L’ŒUVRE D’EDME BOUCHARDON

EN ITALIE

Aucune des monographies de l’œuvre de Bouchardon, même
celle qu’on doit à son ami et protecteur le comte de Caylus
(la meilleure assurément), ne s’est occupée avec quelque
détail des œuvres exécutées par cet habile artiste pendant son séjour
de neuf années à Rome, et, d’ailleurs, le peu qu’on en sait n’est pas
exempt d’erreurs. La correspondance des directeurs de l’Académie
de France à Rome, publiée il y a quelques années1; quelques let-
tres de Bouchardon à son père, éditées par Carnandet en 1855, et
tirées à très petit nombre ; enfin d’autres lettres, utilisées ici pour
la première fois, permettent d’éclairer d’une manière suffisante
cette partie, jusque-là assez obscure, de la vie de ce grand artiste.

Bouchardon à P Académie de Rome. — Le « Faune endormi ».
(Septembre 1723-1730). — Edme Bouchardon, élève de Guillaume 11
Coustou, dit le jeune, avait obtenu à Paris, en 1722, le premier

t, Je l’avais dépouillée avant la publication : je renvoie aux sources, quand je
la cite.

XL .

39 PÉRIODE.

3