LA « DESCENTE DE CROIX » DE ROGER VAN DER WEYDEN 109
c’est que son estampe présente avec le tableau de l’Escurial et les autres répliques
connues de nombreuses et notables différences.
D’abord le tableau est en largeur, tandis que la gravure est dans le sens de la
hauteur. Dans la peinture de Roger van der Weyden manquent, à droite et à gauche
de la croix, les deux larrons qui figurent dans la gravure avec ces inscriptions en
LA DESCENTE DE CROIX
GRAVURE DU CC MAITRE AUX BANDEROLES »
lettres gothiques sur des banderoles au-dessus de leur tête: ÎDtftttfle 6oflll[e],
C5cftTïCK5 tltaflUL Le bon larron, Dismas, rappelle une composition de la Galerie
de l’Institut royal de Liverpool1. En outre, dans le tableau, le bras transversal de la
croix est indiqué à la hauteur du front du personnage placé debout sur l’échelle,
1. Max Friedlànder, Meisterwerke der niederlcindischen Malerei auf der Ausstellung zu
Brügge, 1902, pl. i5.
c’est que son estampe présente avec le tableau de l’Escurial et les autres répliques
connues de nombreuses et notables différences.
D’abord le tableau est en largeur, tandis que la gravure est dans le sens de la
hauteur. Dans la peinture de Roger van der Weyden manquent, à droite et à gauche
de la croix, les deux larrons qui figurent dans la gravure avec ces inscriptions en
LA DESCENTE DE CROIX
GRAVURE DU CC MAITRE AUX BANDEROLES »
lettres gothiques sur des banderoles au-dessus de leur tête: ÎDtftttfle 6oflll[e],
C5cftTïCK5 tltaflUL Le bon larron, Dismas, rappelle une composition de la Galerie
de l’Institut royal de Liverpool1. En outre, dans le tableau, le bras transversal de la
croix est indiqué à la hauteur du front du personnage placé debout sur l’échelle,
1. Max Friedlànder, Meisterwerke der niederlcindischen Malerei auf der Ausstellung zu
Brügge, 1902, pl. i5.