DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1720
DOI Artikel:No. 216
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' Recueil des Machines,
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XK3GBM"77^7
_ „ , . _ _ ^ _ N°. 2 I (5.
ADDITION —
A L A MACHINE
ASCIER DES PLANCHES,
INFENTÉE
P A R M. G U Y O T.
COmmè les coups de scie ddpendent des vibrations Planghe
du pendule, ôt que ce pendule peut être tiré inéga- II.
lement 5 il s’ensuivroit qüe le chemin de la scie ne seroit Hg. VL
pas toujours égal, & que par conséquent tout le reste des
mouvemens, tant de la machine que du cric qui y est adap-
té, se trouveroit dérangé. Voici une addition que FAuteur
voudroit faire pour remédier à cet inconvénient.
On ne change rien au composé de la machine, on sub-
flitue seulement à l’extrêmité D du pendule à la place du
poids, uneouverture danslaquelle ona faitentrer une ma»
nivelleD E, dont Tarbre est prolongé pour former une se-
conde manivelle F disposée d’un sens contraire à la pre-
miere ED : cet arbre porte un volant IH, de sorte que
ce même arbre est soutenu par le chevalet G, & par le
grand montant de la machine à Fendroit E. A la seconde
manivelle est adapté un levier M qui est libre à Tendroit
F, 6c qui sert à faire mouvoir les deux manivelles, qui
peuvent aisément tourner sur les deux points E G, de sorte
qu’en poussant ôc tirant alternativement le levier M F, on
fait faire à la manivelle F une demi - révolution, ce qui
ne peut arriver sans que la manivelle D ne fasse aussi un
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ADDITION —
A L A MACHINE
ASCIER DES PLANCHES,
INFENTÉE
P A R M. G U Y O T.
COmmè les coups de scie ddpendent des vibrations Planghe
du pendule, ôt que ce pendule peut être tiré inéga- II.
lement 5 il s’ensuivroit qüe le chemin de la scie ne seroit Hg. VL
pas toujours égal, & que par conséquent tout le reste des
mouvemens, tant de la machine que du cric qui y est adap-
té, se trouveroit dérangé. Voici une addition que FAuteur
voudroit faire pour remédier à cet inconvénient.
On ne change rien au composé de la machine, on sub-
flitue seulement à l’extrêmité D du pendule à la place du
poids, uneouverture danslaquelle ona faitentrer une ma»
nivelleD E, dont Tarbre est prolongé pour former une se-
conde manivelle F disposée d’un sens contraire à la pre-
miere ED : cet arbre porte un volant IH, de sorte que
ce même arbre est soutenu par le chevalet G, & par le
grand montant de la machine à Fendroit E. A la seconde
manivelle est adapté un levier M qui est libre à Tendroit
F, 6c qui sert à faire mouvoir les deux manivelles, qui
peuvent aisément tourner sur les deux points E G, de sorte
qu’en poussant ôc tirant alternativement le levier M F, on
fait faire à la manivelle F une demi - révolution, ce qui
ne peut arriver sans que la manivelle D ne fasse aussi un