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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 4.1720/​26 (1735) [Cicognara, 917D]

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Recueil des Machines Année 1722
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No. 227
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https://doi.org/10.11588/diglit.30637#0073
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Recueil des Machinesi



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N°.227.

ADDIT ION

A LA MACHINE

POUR BATTRE LE BLED ,

PAR M. DU QUET.

L’On a dit dans la description prdcedente, que la corde Planche
à laquelle est attelé le cheval, passoit deÔus ie tam- I.
bour st, que chaquebrins’y rouloit d’unsens contrairesun pIG, ni.
àl’autre, ahn de suppléer aux différens mouvemens du
cheval moteur, qui va ôt vient alternativement. Cettema-
niere de pasfer la corde sur le tambour, étoit nécessaire
pour faire que la manivelle tournât toujours du même sens
avec le tambour. Ici l’on suppose qu’ii n’y ait point de
place pour le manege, on lubhitue donc à la place du
tambour s t, une lanterne S, dans laquelle engrene une
rouehorizontale IL , montéesur une plate-formeCD, Ôc
soutenue par son arbre H par le bâtis BA$ les dents de
cette roue sont en-dessous, & la plate-forme doit avoir une
ouverture circulaire dans laqueüe doivent palser les dents
de cette roue pour engréner dans la lanterne ; ce que son
voit par le profil marqué par les lettres NOYX : cette
roue qui doit tourner Übrement sur elle-même, est cons-
truite de maniere, que le cheval la fait circuler sans lui-
même changer de place , en remuant seulement les pieds
dont la corne s'engage dans les planches qui forment le
bord de cette roue : pour cet effet les planches IN, OL,
sont appuyées l’une sur l’autre successivement, en sorte que
chaque planche excede de toute son dpaisseur cciic sur la-
 
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