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M A N I E R E 5^.-
D’ELEVER ET Ü'AB AISSER
LES PISTONS
DANS LES CORPS DE POMPES,
PROPOSÉE
PAR M. PERPOINT.
 B sont deux crémailieres de fer enchasfées dans les
tiges des pistons, & engrénées par deux roues G, D, à
demi dentées , fixées aux extrêmités du cylindre, quei’on
fait tourner par le moyen des deux manivelles ML. Ces
roues sont sur ie cylindre dans une situation opposée , ce
qui produit un mouvement alternatif, c’est - à- dire, que
quand la roue G commence à engréner dansia crémaiüere
A, pour faire monter le piston E, la roue D ceste d’en-
gréner dans la cremailiere B, & le piston F descend par son
propre poids ; ainsi succestivement un piston refoule pen-
dant que l’autre aspire.La roueGest dentée en plein, &en-
grene dans les deux crémailieres H , I, qui servent à tenir
les tiges des pistons toujours dans la même dire£tion.
Cette pompe ne differe de ceüe de M. Auger , décrite
en 1700 , qu’en ce que dans celie de M. Auger, les roues
dentées & ies crémaiiieres sont placées entre lespistons,
au iieu que l’Auteur de ceile-ci en place une partie en de-
hors. Ces deux machines ont beaucoup de rapport à une
machine pour le même usage, qui se trouve dans Ramdli9
page iii.
Rect des Machines. Tome XV, £
M A N I E R E 5^.-
D’ELEVER ET Ü'AB AISSER
LES PISTONS
DANS LES CORPS DE POMPES,
PROPOSÉE
PAR M. PERPOINT.
 B sont deux crémailieres de fer enchasfées dans les
tiges des pistons, & engrénées par deux roues G, D, à
demi dentées , fixées aux extrêmités du cylindre, quei’on
fait tourner par le moyen des deux manivelles ML. Ces
roues sont sur ie cylindre dans une situation opposée , ce
qui produit un mouvement alternatif, c’est - à- dire, que
quand la roue G commence à engréner dansia crémaiüere
A, pour faire monter le piston E, la roue D ceste d’en-
gréner dans la cremailiere B, & le piston F descend par son
propre poids ; ainsi succestivement un piston refoule pen-
dant que l’autre aspire.La roueGest dentée en plein, &en-
grene dans les deux crémailieres H , I, qui servent à tenir
les tiges des pistons toujours dans la même dire£tion.
Cette pompe ne differe de ceüe de M. Auger , décrite
en 1700 , qu’en ce que dans celie de M. Auger, les roues
dentées & ies crémaiiieres sont placées entre lespistons,
au iieu que l’Auteur de ceile-ci en place une partie en de-
hors. Ces deux machines ont beaucoup de rapport à une
machine pour le même usage, qui se trouve dans Ramdli9
page iii.
Rect des Machines. Tome XV, £