Recueil des Machines.
iip
M A C H I N E
POUR, DIMINUER
LES FROTTEMENS»
INFENTÊE
PAR M. DE MONDRAN.
CEtte machirie dont Tusage est d’enlever des fardeaux,
n'est qu’une application des rouleaux. EEest l’axe
du treuil A, àutour duquel se roule la corde G, qui en-
leve le poids. La roue dentée est fixée sur le treuil. L’axe
E E du treuil & de la roue dentée est porté sur la circon-
férence des quâtre roues C,C, C, C, placées sur la
mênie ligne à côté les unes des autres. L'aifsieu de cha-»
que roue C, pose de la même maniere sur la circonférence
dequatreautrespetites roues D,D,D, D, dontlesaxes
sont emboîtés dans des boîtes de cuîvre de figure quarrée
ôtde même diâmetre que ces axes ; de sorte que l’on voit
les axes des petites roues D , D , D, D , inscrits dans des
quarrés; ensorte qu’ils ne frottent dans ces boîtes tout
au plus qu’en quatre points, ou même deux; semblable-
ment aux aissieux des roues C, C, quine touchent aux
circonférences D , D , qu’en deux points : ii ën est ainsi
de l’âxe E du treuil A, appuyé surles circonférences C,
C ; d’où il suit que les quatre roues C,C,C,C, sont
portées par seize autres petites roues, qui tournent tou-
tes librement sur elles-mêmes ; ce qui fait ensemble une
exclusioti de frottement qui favorise d’autant le motive-
ment de la machine.
1725:.
Fig. I.
& II.
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M A C H I N E
POUR, DIMINUER
LES FROTTEMENS»
INFENTÊE
PAR M. DE MONDRAN.
CEtte machirie dont Tusage est d’enlever des fardeaux,
n'est qu’une application des rouleaux. EEest l’axe
du treuil A, àutour duquel se roule la corde G, qui en-
leve le poids. La roue dentée est fixée sur le treuil. L’axe
E E du treuil & de la roue dentée est porté sur la circon-
férence des quâtre roues C,C, C, C, placées sur la
mênie ligne à côté les unes des autres. L'aifsieu de cha-»
que roue C, pose de la même maniere sur la circonférence
dequatreautrespetites roues D,D,D, D, dontlesaxes
sont emboîtés dans des boîtes de cuîvre de figure quarrée
ôtde même diâmetre que ces axes ; de sorte que l’on voit
les axes des petites roues D , D , D, D , inscrits dans des
quarrés; ensorte qu’ils ne frottent dans ces boîtes tout
au plus qu’en quatre points, ou même deux; semblable-
ment aux aissieux des roues C, C, quine touchent aux
circonférences D , D , qu’en deux points : ii ën est ainsi
de l’âxe E du treuil A, appuyé surles circonférences C,
C ; d’où il suit que les quatre roues C,C,C,C, sont
portées par seize autres petites roues, qui tournent tou-
tes librement sur elles-mêmes ; ce qui fait ensemble une
exclusioti de frottement qui favorise d’autant le motive-
ment de la machine.
1725:.
Fig. I.
& II.