'itf Recueïl des Machines
mtmitummim sera toujoursde nouvel air, cequile rendrasain&agréable;
1720. En employantla même méchanique,ronpourroitéchauf-
N°.22 i. fer à la fois deux appartemens avec le même poële. Par
222. exemple, le poële A étant dans la premiere chambre, il
p-sera, comme le précédent, garni d’un tuy au P pour la fumée,
Lj| CHE d’un second tuyau FOD pour le passage de l’air chaud
dans cette premiere chambre , ôc enfin du troisieme tuyau
EXYTRSDGBMN quitraversera lemur de séparation
LI; alors i’air chaud se dégorgeraà cetendroit, &en rem-
plira le second appartement, qui pour lors profitera de
îa commodité du poële sans en êtreembarrasse. II fautaudi
pratiquer une ouverture dans un des rnurs un peu au-des-
sous du plafond, pour le même usage qu*il a eté dit pour
le premier appartement.
II seroit nécessTaire que l’entonnoir adapté au tuyau E ,
qui ess: pour la seconde chambre, fût d’une plus grande
capacité que le premier; parce que l’air étant obligé de
faire plus de chemin que dans le premier ? il paroît que
par ce moyen cet air seroit chasssé avec plus de force , Ôc
y fourniroit la quantité necelsaire pour parvenir au dégor-
gement N.
Le succès du premier poële paroît plus évident que ce-S>
lui du second ; ainsi de tels poëles établis de diflance en
distance dans les salles des Hôpitaux, qui seroient bien
fermées , y pourroient toujours fournir de nouvel air, qui
deviendroit très-sain pour les malades Ôc pour ceux qui
les servent, pourvu que la tôle ne communique à cette
chaleur aucun mauvais effet. Ces poëles m’ont ètè sournis
çomtne, ètant de Hnventïon de M. Gauger^ & approuvés eti
£722.
&
MACHINËS
mtmitummim sera toujoursde nouvel air, cequile rendrasain&agréable;
1720. En employantla même méchanique,ronpourroitéchauf-
N°.22 i. fer à la fois deux appartemens avec le même poële. Par
222. exemple, le poële A étant dans la premiere chambre, il
p-sera, comme le précédent, garni d’un tuy au P pour la fumée,
Lj| CHE d’un second tuyau FOD pour le passage de l’air chaud
dans cette premiere chambre , ôc enfin du troisieme tuyau
EXYTRSDGBMN quitraversera lemur de séparation
LI; alors i’air chaud se dégorgeraà cetendroit, &en rem-
plira le second appartement, qui pour lors profitera de
îa commodité du poële sans en êtreembarrasse. II fautaudi
pratiquer une ouverture dans un des rnurs un peu au-des-
sous du plafond, pour le même usage qu*il a eté dit pour
le premier appartement.
II seroit nécessTaire que l’entonnoir adapté au tuyau E ,
qui ess: pour la seconde chambre, fût d’une plus grande
capacité que le premier; parce que l’air étant obligé de
faire plus de chemin que dans le premier ? il paroît que
par ce moyen cet air seroit chasssé avec plus de force , Ôc
y fourniroit la quantité necelsaire pour parvenir au dégor-
gement N.
Le succès du premier poële paroît plus évident que ce-S>
lui du second ; ainsi de tels poëles établis de diflance en
distance dans les salles des Hôpitaux, qui seroient bien
fermées , y pourroient toujours fournir de nouvel air, qui
deviendroit très-sain pour les malades Ôc pour ceux qui
les servent, pourvu que la tôle ne communique à cette
chaleur aucun mauvais effet. Ces poëles m’ont ètè sournis
çomtne, ètant de Hnventïon de M. Gauger^ & approuvés eti
£722.
&
MACHINËS