Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]: Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent (4.1720/26 (1735)) [Cicognara, 917D]

136 Recueil des Machines

-.- G H I K, ôc pousse nécessairement la cheviile L de la

j y. roueX, chaque fois que la petite éminence G se trouve
N0 .261. accrochée par la plus longue pointe de Foutil ; mais com-

-me elle n est accrochée qu’une fois à chaque tour de 1 a

xoue mobile sur le centre D, il suit que la petite roue X
ne doit faire qu’un tour, pendant que la grande roue qui
la conduit, en faitdix.

M. Pascala inventé une machine pour le mêmeusage,
qui a été exécutée, ôc qne l’on voit dans le Cabinet de
l’Académie , sur laquelle on opere de la même façon. Pour
pouvoir la comparer à celle-ei, 011 en a ajouté la descrip-
tionôclafigure dans ce Recueii : Voye^ ci-après, N d. 262 ,
263. Quant à la manierede se servir de ces machines, on
aura recours dans la suite aux machirres arithmétiques
inventées depuis celle-ci par M. de Hiilerin de Boistif-
sandeau ; car ia maniere d’opérer est çommune à toutes
les trois,

MÀGHINE