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Académie des Sciences <Paris> [Editor]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 4.1720/​26 (1735) [Cicognara, 917D]

DOI issue:
Recueil des Machines Année 1725
DOI article:
No. 266
DOI Page / Citation link:
https://doi.org/10.11588/diglit.30637#0266
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Recueil des Machines.

^__ pris dans i’intervalle ST9 ôe le tuyau étant plein d’eau jus-

1725*» qu’en i iaut une f ols ’ P 0111P e ag ira ensuite fort aisément.

N°. 266, H est aisé de concevoir par cette construflion ? que le seau
_____ monte & descend une fois par chaque révoiution de la
manivelle ? c’est-à-dire, que lorsque îa manivelle fait des-
cendre le seau , sa soupape s’ouvre9 & laisTe entrer l’eau
qui ne peut sortir par la valvule T 9 qui est pour lors fer-
mée par le poids de i’eau ; la maniveile achevant sa révo-
lution éleve ce seau? la soupape S se ferme & retient
Feau qu’elle avoit laissé entrer9 qui fait dégorger le gueu-
lart j en repousfant la colonne d’eau qui est au-desfus.

li se fait donc un mouvement alternatif entre ies sou-
papes S & T ? & pendant que Fune éleve ia colonne d’eau
comprise dans iacapacité SR QH, Pautre laiste entrer
dansla partie inférieure une quantité d’eau à peu près égaîe
à celîe qui sort par ie gueulart.

L 5on sait que la force imprimée à la manivelle d’une
machine quelîe qu’eile soit, ii en résulte des effets pro-
portionnés aux causes qui les font agir. Or comme le
rayon de la manivelle détermine dans celle-ci le chemin
du piston ou seau9 & par conséquent ia quantité d’eau
que i’on peut eniever 9 i’Auteur propose une manivelle
dont on peut alonger & raccourcir îe rayon 3 ce qui se
fait de la maniere suivante.

III. ab c d sont les deux portions qui composent l’axe du
treuil O N de la premiere figure. A ces deux pieces
sont fixés les deux bras b e, cf \ ces bras sont chacun per-
cés de deux rangées de trous ei9fm9 dans lesquels onfait
passer des chevilles.

Aux parties bn, c 0 9 ( qui excedent les bras b e 9 cf) sont
pratiquées des mortaises dans lesqueiles entrent les tiges
p q9rs9 d’une espece de double T , marqué par les lettres
p qrsux ; la traverse u x est réciproquemerit percée de
deux mortaises dans lesquelîes coulent les deux bras cf. be9
de maniere que la traverse ux du double T9 peut s’appro-
 
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