i6o Recüeil des Machines
- - - treuil sè meut dans ces deux pieces, entre lesquelles est
1726, attaché fixement sur ce treuil un petit bras RS, qui tient
N0.271. à une verge de ferST, dont l’extrêmité T tient aussi au
272. bras du balancier T VX, mobile au point V. La verge
.. S T se meut le long du levier , dans une rainure faite sui^
vant la longueur du levier.
Le troisieme treuil Y est pour éloigner plus ou moins
le chassis ou scnt attachées les machoires. Ce treuil porte
un étrier Z, qui est emboîté quarrément au treuil, de
maniere qssien levant ou baissant la main Y, son fait avan-
cerou recuîer sétrier le long du levier; & par conféquent
la verge ah est aussi tirée, au moyen de quoi le chassis cd
se meut sur son centre e , soutenu par les alonges ef ; la
fourchette g h est fixéé en h entre les deux montans du
chassis ; son autre extrêmité g porte la traverse i k qui tient
les machoiresnim, Iko9 mobiles autour deleur centreik9
ce qui se fait par le seçours d’une autre traverse p q , tirée
de haut en bas dans l’ouverture de la fourchette, par une
troisiéme verge de fer attachée au milieu de cette tra~
verse en r, & sautre bout au bras X du balancier T V X3
La traverse pqdà. pour faire ouvrir & fermer les machoi-
res au moyen de deux petits tirans de fer ql9 pn, che-
villés aux extrêmités des manchets des maçhoires, & de
même aux extrêmités de ia traverse en p q. Cette traverse
étant poussée de haut en bas, fait écarter ies machoires
teîles qu’elles sont représentées dans cette sigure ; & cette
même traverse étant tirée de bas en haut les fait resser-
rer. Le chassis s t établi auprès du treuil L M sert à fixer
la descente du levier , & à empêcher que ie poids de la
vase ne charge trop le treuii L M. Dans les montans quî
composent çe chassis il y aplusieurs trous qui cçrrespon-
dent les uns aux autres 9 dans îesquels i’on passe une barre
de fer contre iaquelle va heurter ce levier. La petite piece
coudée u x revient en avant pour arrêter le treuil P en ip
relevant par une de ses barres»
- - - treuil sè meut dans ces deux pieces, entre lesquelles est
1726, attaché fixement sur ce treuil un petit bras RS, qui tient
N0.271. à une verge de ferST, dont l’extrêmité T tient aussi au
272. bras du balancier T VX, mobile au point V. La verge
.. S T se meut le long du levier , dans une rainure faite sui^
vant la longueur du levier.
Le troisieme treuil Y est pour éloigner plus ou moins
le chassis ou scnt attachées les machoires. Ce treuil porte
un étrier Z, qui est emboîté quarrément au treuil, de
maniere qssien levant ou baissant la main Y, son fait avan-
cerou recuîer sétrier le long du levier; & par conféquent
la verge ah est aussi tirée, au moyen de quoi le chassis cd
se meut sur son centre e , soutenu par les alonges ef ; la
fourchette g h est fixéé en h entre les deux montans du
chassis ; son autre extrêmité g porte la traverse i k qui tient
les machoiresnim, Iko9 mobiles autour deleur centreik9
ce qui se fait par le seçours d’une autre traverse p q , tirée
de haut en bas dans l’ouverture de la fourchette, par une
troisiéme verge de fer attachée au milieu de cette tra~
verse en r, & sautre bout au bras X du balancier T V X3
La traverse pqdà. pour faire ouvrir & fermer les machoi-
res au moyen de deux petits tirans de fer ql9 pn, che-
villés aux extrêmités des manchets des maçhoires, & de
même aux extrêmités de ia traverse en p q. Cette traverse
étant poussée de haut en bas, fait écarter ies machoires
teîles qu’elles sont représentées dans cette sigure ; & cette
même traverse étant tirée de bas en haut les fait resser-
rer. Le chassis s t établi auprès du treuil L M sert à fixer
la descente du levier , & à empêcher que ie poids de la
vase ne charge trop le treuii L M. Dans les montans quî
composent çe chassis il y aplusieurs trous qui cçrrespon-
dent les uns aux autres 9 dans îesquels i’on passe une barre
de fer contre iaquelle va heurter ce levier. La petite piece
coudée u x revient en avant pour arrêter le treuil P en ip
relevant par une de ses barres»