DOI issue:
[Recueil des Machines Année 1729]
DOI article:No. 289-290
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.30637#0372
ZOS Recueil des Machines
vent dirigés par rassemblage de ces sortes de rouleaux : il y
172p. v a encore d’autres rouleaux horizontaux sur lesquels le
N°. 28p. cable porte. J1 fautsupposer dans ce chassis assez de rou-
2po. leaux pour qu’il se trouve le vuide nécessaire pour les sept
«- tours de cable. On n'a pu observer exadement cenombre à
cause du peu d’espace qui s’efl trouvé dans la planche. Ce
dévuidage est si parfait, que l’altération du cable ne s’ap-
perçoit qu’après plusieurs années de service.
Fig. IV. La porte d’envoi qui sert à envoyer un bateau devant
soi, la machine étant fixée , consiste aans une charpente
nlm, faite en double T, dont les branches sont paralleles
à un pied de distance l’un de l’autre. La tige de ce T est
assemblée à tenon & mortaise par cinq fortes entretoises ;
la premiere n au bas de la tige ; la seconde au milieu ; la
troisieme au-delà de la tige & au milieu des bras ; la qua-
trieme & la cinquieme aux extrêmités des mêmes bras ; un
rouleau 0 d’un pied de diametre, & d’une hauteur égale à
l’intervale des deuxT, tourne librement entre les tiges.
Ce rouleau est de fer; son axe circule dans des boîtes de
bronze ou métal de cloche , asisujetti dans les tiges du T :
entre les branches des bras sont les quatre rouleaux n p ,
horizontalement posés & paralleles entr’eux. Leur dia-
metre est de quatre pouces , de même que l’intervalle
qu’ils laissent dans leur parallelisme : leur longueur est
d’un pied, desorte que le cabled'envoi étant passésurle
gros rouleau , l’un des bouts r du cable vient d’entre les
rouîeaux d’un des bras, à la machine, ôc l’autre bout s
passe entre les deux rouleaux de Fautre bras, ôc va a. ba-
teau à envoyer.
Cette porte d’envoi s’attache à son point d’appui par
les deux entretoises du milieu ôc du bas de la tige. du T,
avec de bons cordages à cinq à six pieds de liberté, entre
ladite porte ôc le point d’appui.
La figure III représente la porte de conduite aas
gulaire.
vent dirigés par rassemblage de ces sortes de rouleaux : il y
172p. v a encore d’autres rouleaux horizontaux sur lesquels le
N°. 28p. cable porte. J1 fautsupposer dans ce chassis assez de rou-
2po. leaux pour qu’il se trouve le vuide nécessaire pour les sept
«- tours de cable. On n'a pu observer exadement cenombre à
cause du peu d’espace qui s’efl trouvé dans la planche. Ce
dévuidage est si parfait, que l’altération du cable ne s’ap-
perçoit qu’après plusieurs années de service.
Fig. IV. La porte d’envoi qui sert à envoyer un bateau devant
soi, la machine étant fixée , consiste aans une charpente
nlm, faite en double T, dont les branches sont paralleles
à un pied de distance l’un de l’autre. La tige de ce T est
assemblée à tenon & mortaise par cinq fortes entretoises ;
la premiere n au bas de la tige ; la seconde au milieu ; la
troisieme au-delà de la tige & au milieu des bras ; la qua-
trieme & la cinquieme aux extrêmités des mêmes bras ; un
rouleau 0 d’un pied de diametre, & d’une hauteur égale à
l’intervale des deuxT, tourne librement entre les tiges.
Ce rouleau est de fer; son axe circule dans des boîtes de
bronze ou métal de cloche , asisujetti dans les tiges du T :
entre les branches des bras sont les quatre rouleaux n p ,
horizontalement posés & paralleles entr’eux. Leur dia-
metre est de quatre pouces , de même que l’intervalle
qu’ils laissent dans leur parallelisme : leur longueur est
d’un pied, desorte que le cabled'envoi étant passésurle
gros rouleau , l’un des bouts r du cable vient d’entre les
rouîeaux d’un des bras, à la machine, ôc l’autre bout s
passe entre les deux rouleaux de Fautre bras, ôc va a. ba-
teau à envoyer.
Cette porte d’envoi s’attache à son point d’appui par
les deux entretoises du milieu ôc du bas de la tige. du T,
avec de bons cordages à cinq à six pieds de liberté, entre
ladite porte ôc le point d’appui.
La figure III représente la porte de conduite aas
gulaire.