APPROUVÉES PAR L’ÀCADÉMIE. III
1724.
N°.252.
M A C H I N E
POUR TRANSPLANTER
DE GRANDS ARBRES,
INVENTÊE
PAR M. LE MARQUIS DE COETNISÀN.
CEtte machine est composée d’une double chevre mon-
tée sur un grand train de chariot, mais ayant la
voie beaucoup plus large que ies chariots ordinaires ; le
train de devant se sépare aisément de celui de derriere,
& se joint avec la même facilité.
On n’explique ici que le côté apparent de cette machi-
ne ; le côté opposé est entierement semblable.
A B est une grosse & forte traverse fixée sur l’aissieu de
derriere, & mobiie sur ceiui de l’avant-train au moyen
de ia cheville ouvriere, & en tirant saileron A qui le re-
tient contre les montans. La croix de S. André AD, B
C , est ce qui joint les deux chevres ; eüe se démonte en-
core, en ôtant les écrous C, D, E, de même que la
charniereF, qui assemble le haut des deuxchevres, qui
forment en cetendroit une iunette qui s’ouvre & seferme?
& dans laqueile ia tige de Tarbre se trouve prise & em»
brailée fermement.
Chacune de ces chevres porte un treuil^ comme GH ?
IL, garni à une de ses extrêmités d’une roue taiiiée en
A U T R E
1724.
N°.252.
M A C H I N E
POUR TRANSPLANTER
DE GRANDS ARBRES,
INVENTÊE
PAR M. LE MARQUIS DE COETNISÀN.
CEtte machine est composée d’une double chevre mon-
tée sur un grand train de chariot, mais ayant la
voie beaucoup plus large que ies chariots ordinaires ; le
train de devant se sépare aisément de celui de derriere,
& se joint avec la même facilité.
On n’explique ici que le côté apparent de cette machi-
ne ; le côté opposé est entierement semblable.
A B est une grosse & forte traverse fixée sur l’aissieu de
derriere, & mobiie sur ceiui de l’avant-train au moyen
de ia cheville ouvriere, & en tirant saileron A qui le re-
tient contre les montans. La croix de S. André AD, B
C , est ce qui joint les deux chevres ; eüe se démonte en-
core, en ôtant les écrous C, D, E, de même que la
charniereF, qui assemble le haut des deuxchevres, qui
forment en cetendroit une iunette qui s’ouvre & seferme?
& dans laqueile ia tige de Tarbre se trouve prise & em»
brailée fermement.
Chacune de ces chevres porte un treuil^ comme GH ?
IL, garni à une de ses extrêmités d’une roue taiiiée en
A U T R E