CATALOGUE DE L’ŒUVRE DE GÉRICAULT.
5 Al
98. — 3. Intérieur d’écurie voûtée. A gauche, un homme bride un cheval ; un
enfant conduit un autre cheval vu de croupe. D’après une aquarelle.
H., 205. — L., 278 mill.
99. — 4. Cheval arabe tenu par un turc qui a une lance dans la main.
H., 205. — L., 258 mill.
100. RRR. Cheval attaqué par un lion. Le cheval cabré est tourné à gauche; le
lion est cramponné à son poitrail. Cette énergique lithographie sans lettres ni
encadrement, entièrement exécutée à la plume et au grattoir, est d’une extrême
rareté. Nous n'en connaissons que l’exemplaire que possède le Cabinet des Es-
tampes, Les parties légères ne sont pas bien venues et c’est sans doute cette
circonstance qui aura fait renoncer à la tirer. II est certain que jusqu’ici elle était
tout à fait inconnue. Cependant son exécution est tellement magistrale que nous
ne saurions l’attribuer qu’à Géricault. La composition est- absolument identique à
celle du beau dessin au trait publié en fac-similé par M. Colin (voir plus loin),
avec cette différence, que dans la pièce que nous attribuons au maître lui-même, la
jambe droite du cheval est pendante, tandis qu’elle est relevée dans le fac-similé,
où l’on distingue encore un repentir de la première idée.
H., 258. — L., 224 mill.
GRAVURE A L’EAU-FORTE.
101. RRR. Gros cheval gris-pommelé vu de trois quarts. Le petit chapiteau à
droite de cette pièce est de M. Dedreux, architecte. Grand prix de Rome, en 1815.
H., 70. — L., T10 mill.
On ne connaît de cette charmante pièce que deux épreuves. Celle du Cabinet
des Estampes provenant de la collection Bruzard, et celle de M. de Triqueti qui
a appartenu à M. Jamar.
CHARLES clément.
{La suite prochainement.)
5 Al
98. — 3. Intérieur d’écurie voûtée. A gauche, un homme bride un cheval ; un
enfant conduit un autre cheval vu de croupe. D’après une aquarelle.
H., 205. — L., 278 mill.
99. — 4. Cheval arabe tenu par un turc qui a une lance dans la main.
H., 205. — L., 258 mill.
100. RRR. Cheval attaqué par un lion. Le cheval cabré est tourné à gauche; le
lion est cramponné à son poitrail. Cette énergique lithographie sans lettres ni
encadrement, entièrement exécutée à la plume et au grattoir, est d’une extrême
rareté. Nous n'en connaissons que l’exemplaire que possède le Cabinet des Es-
tampes, Les parties légères ne sont pas bien venues et c’est sans doute cette
circonstance qui aura fait renoncer à la tirer. II est certain que jusqu’ici elle était
tout à fait inconnue. Cependant son exécution est tellement magistrale que nous
ne saurions l’attribuer qu’à Géricault. La composition est- absolument identique à
celle du beau dessin au trait publié en fac-similé par M. Colin (voir plus loin),
avec cette différence, que dans la pièce que nous attribuons au maître lui-même, la
jambe droite du cheval est pendante, tandis qu’elle est relevée dans le fac-similé,
où l’on distingue encore un repentir de la première idée.
H., 258. — L., 224 mill.
GRAVURE A L’EAU-FORTE.
101. RRR. Gros cheval gris-pommelé vu de trois quarts. Le petit chapiteau à
droite de cette pièce est de M. Dedreux, architecte. Grand prix de Rome, en 1815.
H., 70. — L., T10 mill.
On ne connaît de cette charmante pièce que deux épreuves. Celle du Cabinet
des Estampes provenant de la collection Bruzard, et celle de M. de Triqueti qui
a appartenu à M. Jamar.
CHARLES clément.
{La suite prochainement.)