LA « CLÉOPÂTRE » DU LOUVRE ET GIANPETRINO ai3
cygne. Parmi les différences qui sautent aux yeux à un premier examen,
nous remarquerons le bras gauche, abaissé dans la Léda, qui se relève ici
pour tenir le serpent, et la tête, dont la pose et l’expression sont différentes,
CLÉOPÂTRE, TABLEAU PAR LE SODOMA
(Musée du Louvre.)
mais où cependant la chevelure, avec son mélange de cheveux tressés et
dénoués, rappelle celle de la Léda et, plus encore, celle des études pour la
tète de Léda de la Bibliothèque de Windsor.
Mais si, par son tracé, par son canevas, la Cléopâtre est très voisine de la
cygne. Parmi les différences qui sautent aux yeux à un premier examen,
nous remarquerons le bras gauche, abaissé dans la Léda, qui se relève ici
pour tenir le serpent, et la tête, dont la pose et l’expression sont différentes,
CLÉOPÂTRE, TABLEAU PAR LE SODOMA
(Musée du Louvre.)
mais où cependant la chevelure, avec son mélange de cheveux tressés et
dénoués, rappelle celle de la Léda et, plus encore, celle des études pour la
tète de Léda de la Bibliothèque de Windsor.
Mais si, par son tracé, par son canevas, la Cléopâtre est très voisine de la