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1720.
N c. 2iy,
Fig. I.
Fig. I.
4 Recueil des Machines
A l’endroit R S des montans, il y a un deuxieme treuii
semblableau premierML, c'est-à-dire, portant des roues
TV demême diametre, d’une épaisseur égale ôc pîacées
dans le même pian que les roues ON. C’ess: à ces roues
que tient la scie à plusieurs feuiiies X Y , devant laquelle
est un rouieau ; , 6, garni de pointes de fer, qui porte à
son extrêmité 6 une roue dentée; ce rouleau tientauxliens
C , D, ôc sert à soutenir ôc faire avancer la piece que l’on
scie : cela se fait au moyen d’un cric qui engrene dans
cette roue qui fait tourner le rouieau , comme on le dira
après avoir expliqué la maniere dont ia scie monte ôc
descend.
Les circonfdrences des roues N, V, sont percées cha-
cune de deux trous, 7 , 8 , 9 , 10, d’où sortent des cordes
qui y sont fixées ; Ôt qui paisent sur la circonférence des
xoues , pour s’attacher ensuite au montant X Y du chassis
de la scie, l’une comme 8 , 11 ; ôc i’autre comme 10, Y.
La corde 7, 9, s’attache de la même façon ; de sorte que
les roues font entr’elles un mouvement alternatif, c ?efl-à-
dire, que quand le pendule L Q est tird de A au point
Q, la roue V efl tirée de bas en haut par la corde 11,8,
en faisant une demi- révoiution , ce qui ne se peut faire
sans que de l’autre côté la corde 10, Y ne tire la scie ôc
ne la fasse descendre lorsque le penduie acheveia vibration
Q AZ en faisant revenir ies roues d’un sens contraire.
Le montant BA porte deux bras 13 , 14, avec une
chape; aux extrêmités de chacune sont deux rouiettes qui
appuient sur ies longs côtés de la scie , pour qu’eüe soit
toujours dans la même direôtion, ôe aussi pour la faire réss-
fler à la dureté du bois.
On applique à cette machine deux sortes d * cric? , l’un
tel qu’il est représenté figure 4, qui n’est que pour le sciage;
ôc i’autre, figure j } est doubie, ôc ii sert tant pour le
sciage, que pour tirer ôc monter de pesans fardeaux : ces
crics sont à l’ordinaire, c’est'à-dire , composés de roues
1720.
N c. 2iy,
Fig. I.
Fig. I.
4 Recueil des Machines
A l’endroit R S des montans, il y a un deuxieme treuii
semblableau premierML, c'est-à-dire, portant des roues
TV demême diametre, d’une épaisseur égale ôc pîacées
dans le même pian que les roues ON. C’ess: à ces roues
que tient la scie à plusieurs feuiiies X Y , devant laquelle
est un rouieau ; , 6, garni de pointes de fer, qui porte à
son extrêmité 6 une roue dentée; ce rouleau tientauxliens
C , D, ôc sert à soutenir ôc faire avancer la piece que l’on
scie : cela se fait au moyen d’un cric qui engrene dans
cette roue qui fait tourner le rouieau , comme on le dira
après avoir expliqué la maniere dont ia scie monte ôc
descend.
Les circonfdrences des roues N, V, sont percées cha-
cune de deux trous, 7 , 8 , 9 , 10, d’où sortent des cordes
qui y sont fixées ; Ôt qui paisent sur la circonférence des
xoues , pour s’attacher ensuite au montant X Y du chassis
de la scie, l’une comme 8 , 11 ; ôc i’autre comme 10, Y.
La corde 7, 9, s’attache de la même façon ; de sorte que
les roues font entr’elles un mouvement alternatif, c ?efl-à-
dire, que quand le pendule L Q est tird de A au point
Q, la roue V efl tirée de bas en haut par la corde 11,8,
en faisant une demi- révoiution , ce qui ne se peut faire
sans que de l’autre côté la corde 10, Y ne tire la scie ôc
ne la fasse descendre lorsque le penduie acheveia vibration
Q AZ en faisant revenir ies roues d’un sens contraire.
Le montant BA porte deux bras 13 , 14, avec une
chape; aux extrêmités de chacune sont deux rouiettes qui
appuient sur ies longs côtés de la scie , pour qu’eüe soit
toujours dans la même direôtion, ôe aussi pour la faire réss-
fler à la dureté du bois.
On applique à cette machine deux sortes d * cric? , l’un
tel qu’il est représenté figure 4, qui n’est que pour le sciage;
ôc i’autre, figure j } est doubie, ôc ii sert tant pour le
sciage, que pour tirer ôc monter de pesans fardeaux : ces
crics sont à l’ordinaire, c’est'à-dire , composés de roues