approuvées par l’Académie. 8;
niesurerrhypothénuse , ôc l’autre côté de l’angle droit, on
en trouvera ia valeur en toises. On voit qu’on ne fait que 1724.
tracer régulierement le triangle proposé, ies angles ôc un N°.245-,
côté étant connus. ---—
Mais s’il s’agissoitde rësoudre un triangle obliquangle,
voici comme on s’y prendroit. Soit N P la base du trian-
gle, les deuxangles de labase connus, cest-à-dire, l’an-
gle N de trente degrés, ôc l’angle P de quarante-neuf de-
grés environ ; pour lors vous tendez le fil au pointy, qui
est 3 o, ensuite on place l’alidade sur le côté H Gà quarante-
neuf degrés, le point d’interseclion ;v rdsoudra le triangle:
car en prenant les parties de la base NP pour mesurer les
côtésNAT, P x, on aura la longueur des côtés du trian-
gle : l’alidade étant divisée par les mêmes parties que les
quarrés, il s’ensuit qu’il y a toujours un côté de ce trian-
gle connu , puisqu’il n’y a qu’à compter les parties com-
prises depuis le centre P jusqu’à l’intersedion du fil 5 il en
sera ainsi de tous les triangles.
' Si l’on veut avoir l’aire de ce triangle, il n’y a qu’à
compter combien il se trouve de parties dans la perpen-
diculaire qui tombe de l’intersection a: sur la base NP,
prendre la moitié de cette perpendiculaire, ôc la multi-
plier par la base.
Tous ces quarrés ensemble représentent le quartier de
réduôtion , ôc servent à connoître par quelle latitude ôc
longitude on est arrivé, le chemin ôc l’air de vent étant
donnés. L’onsupposeavoir cingléau O. | N, O, soixante
ôc quinze lieues , vous mettez l’alidade dans la position
P Q sur l’air de vent, ensuite vous donnez telie valeur
qu’il vous plaît aux parties égales qui sont sur l’alidade, ôc
les supposant chacune de dix lieues, vous trouvez que le
vaisfeau étant arrivé au point x, sa latitude sera détermi-
née par la ligne {P, ôc sa longitude par la ligne horizon-
tale 7 x. Enfin l’on pourra sur cet instrument faire toutes
niesurerrhypothénuse , ôc l’autre côté de l’angle droit, on
en trouvera ia valeur en toises. On voit qu’on ne fait que 1724.
tracer régulierement le triangle proposé, ies angles ôc un N°.245-,
côté étant connus. ---—
Mais s’il s’agissoitde rësoudre un triangle obliquangle,
voici comme on s’y prendroit. Soit N P la base du trian-
gle, les deuxangles de labase connus, cest-à-dire, l’an-
gle N de trente degrés, ôc l’angle P de quarante-neuf de-
grés environ ; pour lors vous tendez le fil au pointy, qui
est 3 o, ensuite on place l’alidade sur le côté H Gà quarante-
neuf degrés, le point d’interseclion ;v rdsoudra le triangle:
car en prenant les parties de la base NP pour mesurer les
côtésNAT, P x, on aura la longueur des côtés du trian-
gle : l’alidade étant divisée par les mêmes parties que les
quarrés, il s’ensuit qu’il y a toujours un côté de ce trian-
gle connu , puisqu’il n’y a qu’à compter les parties com-
prises depuis le centre P jusqu’à l’intersedion du fil 5 il en
sera ainsi de tous les triangles.
' Si l’on veut avoir l’aire de ce triangle, il n’y a qu’à
compter combien il se trouve de parties dans la perpen-
diculaire qui tombe de l’intersection a: sur la base NP,
prendre la moitié de cette perpendiculaire, ôc la multi-
plier par la base.
Tous ces quarrés ensemble représentent le quartier de
réduôtion , ôc servent à connoître par quelle latitude ôc
longitude on est arrivé, le chemin ôc l’air de vent étant
donnés. L’onsupposeavoir cingléau O. | N, O, soixante
ôc quinze lieues , vous mettez l’alidade dans la position
P Q sur l’air de vent, ensuite vous donnez telie valeur
qu’il vous plaît aux parties égales qui sont sur l’alidade, ôc
les supposant chacune de dix lieues, vous trouvez que le
vaisfeau étant arrivé au point x, sa latitude sera détermi-
née par la ligne {P, ôc sa longitude par la ligne horizon-
tale 7 x. Enfin l’on pourra sur cet instrument faire toutes