151 Recueil des Machines
roîtreun seul chiffre; par ce moyen, il ny a aucune con-
1725. fusion.
N°. 2yp. Les chiffres qui paroissent par ces ouvertures sont gra-
2.60. vés sur des grands chaperons, qui sont conduits par les
' 2.61. pecits dont on a parlé.
. u Au haut de la machine l’on voit douze cercles rangés
6c à chacun une ouverture par ou paroît un chiffre. L’u-
sage de ces roues est d’écrire les somrnes sur lesquelles on
veut opérer. On fait mouvoir ces roues en mettant une
des pointes de l’outil A E dans un trou fait à i’extrêmité
de chaque alidade, comme L, M, ôcc. Au-dessous des
grandes roues C, D, E, sont encore d’autres petits cha-
perons divisés de même que les grands, dont les chif-
fres paroissent ausïi par les ouvertures quarrées N, P. Ces
petits chaperons sont menés par les grands lorsqu’il est be-
soin suivant la nature de l’opération ; iis servent encore à
écrire de même que les douze L, M, &c. Ceux-ci dif-
ferent des autres, en ce qu’iis tournent indépendamment
des grands chaperons , qui n’ont aucune communication
avec ces petits.
Ii faut remarquer que les ouvertures F, G, H, &c. des
grands chaperons, sont formées par un quarré iong, par-
tagé en deux parties égales, parce que les chaperons in-
térieurs portent deux rangées de chiffres, dont ii n’y a
que l’une ouTautre qui paroisse, chaque ouverture étant
séparée en deux parties , dont il y en a toujours une de
bouchée; on change ces ouvertures en tournant le bou-
ton S, qui fait mouvoir deux bandes de cuivre, i’une
pour la rangée d’en-haut, & l’autre pour la rangée d’en-
bas, qui par conséquent ont toute la longueur de la ma-
chine. Ces ouvertures se bouchent suivant les opérations
quel’on veut faire, comme ii sera dit dans l’usage. Venons
à présent à l’intérieur de la machine.
E M N , est la rangée des petits chaperons qui servent
à écrire les nombres sur lesquels on veut opérer : ils sont
PlAN
II.
CHE
roîtreun seul chiffre; par ce moyen, il ny a aucune con-
1725. fusion.
N°. 2yp. Les chiffres qui paroissent par ces ouvertures sont gra-
2.60. vés sur des grands chaperons, qui sont conduits par les
' 2.61. pecits dont on a parlé.
. u Au haut de la machine l’on voit douze cercles rangés
6c à chacun une ouverture par ou paroît un chiffre. L’u-
sage de ces roues est d’écrire les somrnes sur lesquelles on
veut opérer. On fait mouvoir ces roues en mettant une
des pointes de l’outil A E dans un trou fait à i’extrêmité
de chaque alidade, comme L, M, ôcc. Au-dessous des
grandes roues C, D, E, sont encore d’autres petits cha-
perons divisés de même que les grands, dont les chif-
fres paroissent ausïi par les ouvertures quarrées N, P. Ces
petits chaperons sont menés par les grands lorsqu’il est be-
soin suivant la nature de l’opération ; iis servent encore à
écrire de même que les douze L, M, &c. Ceux-ci dif-
ferent des autres, en ce qu’iis tournent indépendamment
des grands chaperons , qui n’ont aucune communication
avec ces petits.
Ii faut remarquer que les ouvertures F, G, H, &c. des
grands chaperons, sont formées par un quarré iong, par-
tagé en deux parties égales, parce que les chaperons in-
térieurs portent deux rangées de chiffres, dont ii n’y a
que l’une ouTautre qui paroisse, chaque ouverture étant
séparée en deux parties , dont il y en a toujours une de
bouchée; on change ces ouvertures en tournant le bou-
ton S, qui fait mouvoir deux bandes de cuivre, i’une
pour la rangée d’en-haut, & l’autre pour la rangée d’en-
bas, qui par conséquent ont toute la longueur de la ma-
chine. Ces ouvertures se bouchent suivant les opérations
quel’on veut faire, comme ii sera dit dans l’usage. Venons
à présent à l’intérieur de la machine.
E M N , est la rangée des petits chaperons qui servent
à écrire les nombres sur lesquels on veut opérer : ils sont
PlAN
II.
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