- APPROUVÉES PAR l’ÀCADÊMIE. 133
divifés en parties égales par des cheviües. La machine
étant ici renversée , son voitque le premier E, qui est
pour les deniers , est divisé en douze; le second pour les N°.2<5o.
sous, en vingt; & le troisieme, de même que tous lesau--
tres de cette rangée qui sont pour les livres, sont divisés
en dix. Chacun de ces chaperons a son cliquet g pousfé
par un ressort I.
Les grands chaperons F F, &c. sont divisés comme
les petits, excepté que dans le nombre des chevilles , il
y en a toujours une à chaque chaperon, plus grande que
les autres; son voit auili que toutes les roues sont di-
.visées en dix, jusqu’aux deux derniers chaperons FF,
de la rangée inférieure qui sbnt divisés en vingt, & en
douze.
Les deux bandes O P , servent à boucher îes ouvertu-
res dont on a déja parlé ; & ies trois bandes III sont cel-
les sur quoi sont attachées les pieces h h, gg , & les
ressorts qui font mouvoir toute la machine. Cette mécha-
nique est expliquée dans la planche suivante.
La roue R est mobile sur son centre de A en B. Sur la pLAnche
surface de cette roue sont attachées perpendiculairement III.
dix petites chevilles rondes de fer , placées sur une ligne No.ad’t,
circulaire ôc ccwicentrique , & posées à distance égale les Iig. I.
unes des autres. Sur la bande de cuivre H K , est une au-
tre piece E F G de même matiere , mobile sur un ctou
F rivé sur la bande : à cette piece est appliqué un ressort
d’acier H G fixé sur la même bande ; ce ressort sert à pous-
ser la piece E F G, sur les chevilles de la roue, lorsque
l’on sait tourner la roue de Avers B , la piece E F est
pousfée de E en L par la cheville D, sur laquelle elle po-
îe, àc continuant de tourner, cette cheville échappe, &
la piece EF reprend la cheville suivante, étant rappellé^
par son restsort ; il en est de même de toutes les autres
chevilles, dont l’usage est destiné à faire tourner toutes
ces roues} les unes par le moyen des autres 9 suivant la
divifés en parties égales par des cheviües. La machine
étant ici renversée , son voitque le premier E, qui est
pour les deniers , est divisé en douze; le second pour les N°.2<5o.
sous, en vingt; & le troisieme, de même que tous lesau--
tres de cette rangée qui sont pour les livres, sont divisés
en dix. Chacun de ces chaperons a son cliquet g pousfé
par un ressort I.
Les grands chaperons F F, &c. sont divisés comme
les petits, excepté que dans le nombre des chevilles , il
y en a toujours une à chaque chaperon, plus grande que
les autres; son voit auili que toutes les roues sont di-
.visées en dix, jusqu’aux deux derniers chaperons FF,
de la rangée inférieure qui sbnt divisés en vingt, & en
douze.
Les deux bandes O P , servent à boucher îes ouvertu-
res dont on a déja parlé ; & ies trois bandes III sont cel-
les sur quoi sont attachées les pieces h h, gg , & les
ressorts qui font mouvoir toute la machine. Cette mécha-
nique est expliquée dans la planche suivante.
La roue R est mobile sur son centre de A en B. Sur la pLAnche
surface de cette roue sont attachées perpendiculairement III.
dix petites chevilles rondes de fer , placées sur une ligne No.ad’t,
circulaire ôc ccwicentrique , & posées à distance égale les Iig. I.
unes des autres. Sur la bande de cuivre H K , est une au-
tre piece E F G de même matiere , mobile sur un ctou
F rivé sur la bande : à cette piece est appliqué un ressort
d’acier H G fixé sur la même bande ; ce ressort sert à pous-
ser la piece E F G, sur les chevilles de la roue, lorsque
l’on sait tourner la roue de Avers B , la piece E F est
pousfée de E en L par la cheville D, sur laquelle elle po-
îe, àc continuant de tourner, cette cheville échappe, &
la piece EF reprend la cheville suivante, étant rappellé^
par son restsort ; il en est de même de toutes les autres
chevilles, dont l’usage est destiné à faire tourner toutes
ces roues} les unes par le moyen des autres 9 suivant la