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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 4.1720/​26 (1735) [Cicognara, 917D]

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Recueil des Machines Année 1725
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No. 262-263
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https://doi.org/10.11588/diglit.30637#0250
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138

2.6 3 '

Recueil des Machines
paroître dans cette rangée la somme de 4368op 1. is
1723. s. 10 d. on prend dans le cercie O avec le condudteur,
N°. 262, Fintervalle des dents quirépond au nombre 10 de la roue
des deniers, & Fon tourne de droite à gauche jusqu’à ce
que i’on soit arrêté par Tindex S ; le nombre 1 o paroîtra
alors dans l’ouverture qui lui répond. Pour faire paroître
les 1 $ sous , on prend l'intervalle des dents qui répond au
nombre 1 $ de la roue T, & l’on tourne encore de droite
à gauche jusqu’à l’index, le nombre 1 5 paroîtra dans Fou-
verture au-dessus ; ii en est ainsi de toutes les autres roues.
La roue V représente une de ces roues niobiles; son arbre
qui est vertical. porte une seconde rouedechanX, qui
donne îe mouvement aux machines L M, qui fontmou-
voir les bariiietsF G enfermés dans ia boîte D E, repré-
sentée en grand dans cette figure. Sur chaque bariiiet,
comme G, sont gravées deux rangées de chiffres, qui
vont en sens contraire l’unde i’autre; c’est-à*dire, quel’une
des progressions commence de gauche à droite , Ôt i’au-
tre de droite à gauche. Ces nombres sont ies mêmes que
ceux qui répondent aux cercles extérieurs, c’est-à-dire,
que le premier G des deniers est divisé en douze ; îe se-
cond en vingt; le troisieme & ies suivans en dix. li est
inutile de dire que de ces deux rangdes de chiffres surcha-
que barillet, il ne paroît qu’un chiffre àla fois, puisqu’ii
y a toujours une rangée cachée pat ia bande R P exté-
rieure à la boîte. Les usages des crochets H I, de même
que la méchanique des mouvemens, seront expliquésdans
la Pianche suivante.

Le barrüiet a b que l’on suppose être ceîui des deniers,
porte un pignon c mené par la roue à chevilie^. L’axe de
cette roue prolongé porte encore les deux autres roues à
cheviile g, h\ c’est cette derniere qui eft menée par la roue
X , représentée dans îa premiere pianche, Entre Jes roues
ct, g, est un sautoir e f, qui tourne librement sur i’axe
de ces roues. Les roues g, h, sont jointes par deux fu-

Planche

II.

Big. I.

&U.
 
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