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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 4.1720/​26 (1735) [Cicognara, 917D]

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Recueil des Machines Année 1725
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No. 262-263
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https://doi.org/10.11588/diglit.30637#0251
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APPROUVÉES PAR l’A C A D Û M I E. I j p
seâux 5 qui entrent dans la partie du sautoir ; ce même sau-
toir porteun cliquet m n avec son ressoi't p9 qui s’engage 1725*.
danslaroueg-quiluirépond;desorte que les rouesg'Aayant N°.262«
fait un tour 3 les fuseauxjyy venant à rencontrer la partie 263,

s du sautoir, l’élevent ; ce sautoir dégage le cliquet, qui -—•

étant poussé par le ressort, reprend une dent de la roue
en la faisant avancer de cette quantité. Le barillet ab qui
n’a ausli que le même mouvemenc, avance a’un chilfre.

Le second cliquet k qui tombe par son propre poids, ne
sert qu'à empêcher la roue dans laquelle il tombe, de ré-
trograder. II suit de là qu’il faut douze tours de cette roue
pour en faire faire un à la roue des sous, ôc qu’il fautvingt
tours de cette derniere pour en faire faire un à celle des uni-
tés , qui feraaussi dixtours pour en faire faire unà celle des
dixaines , & ainsi de suite pour toutes les autres roues ,
puisque la roue antérieure ne fait avancer que d’une dent
la roue poférieure.

La maniere d’opérer sur cette machine est la même que
celle dont on se sert pour calculer sur la machine de M. de
Boistilsandeau, approuvée de l’Açadémie en 1730. On
peut y avoir recours»
 
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