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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 4.1720/​26 (1735) [Cicognara, 917D]

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[Recueil des Machines Année 1729]
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No. 295
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https://doi.org/10.11588/diglit.30637#0412
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234 Recueil des Machines
quel’on a données , c’est-à-dire , que pour avoirlacapâ-
172p. cité du tonneau de ia seconde elpece, on ajoutera à la
N 0.2p5*. somme des parties trouvées pour i’un ôc pour i’autre dia-

- metre, le douzieme de leur différence, le sixieme pour

le tonneau de la troisieme espece, le quart pour celui de
ia quatrieme espece; Ôc ensin le tiers pour le tonneau
elliptique, ou de la cinquieme espece.

L’expérience apprend que la capacité des tonneaux or-
dinaires, ne surpasse guere celle des tonneaux de la troi-
sieme espece 5 mais elie apprend en même temps quil est
nécessairepour Fexa&itude, que le jaugeur puiise s’assurer,
par la courbure , de l’espece à laqueile le tonneau doit
être rapporté ; on donnera ci-après une méthode pour la
découvrir.

Quoique la jauge universelle paroisse moins composée
que ceüe que l’on vient de décrire, on connoîtra cepen-
dant que dans la pratique ordinaire, ôc lorsqu’il n’ess
question quede déterminer en setiers les capacités, cette
derniere doit être préférée ; on connoîtra aussi qu’elie est
beaucoup plus expéditive que toutes celles dont on fait
usage, ôc qui d’ailleurs péchent contre les regles de la
géométrie.
 
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