104 NOUVELLES NOTES D'ÉPIGRAPHIE ET D'ARCHÉOLOGIE ASSYRIENNES
Bibliographie. — Ce coffret porte les étiquettes n°394, n° 1677, et au Guide du visiteur
au Musée du Caire, 1906, le n° 792. Un autre semblable, ne donnant aucune
variante, porte le n° 1651.
Tableau résumé de la branche* ^^f^> FILS DE
à._a
AWM -H-
-N- V 1 A/WvV\ £^
—a?\ III
1 AAAAAA CJ Q
._af\ Ier
&^ A
I
0
(A suivre.)
NOUVELLES NOTES D'ÉPIGRAPHIE ET D'ARCHÉOLOGIE ASSYRIENNES
PAR
V. SCHEIL
XI
Site, roi et dieux de Malgî. — D'après le kudurru (Mém. Text. êlam. sémit., IV,
p. 87 et suiv.) où Melisihu crée un domaine pour sa fille, la prêtresse Hunnubatum, —
la préfecture de Malgî était desservie par le canal royal nâr sarri; et dans la col. 2,
19, 20, on déclare ce domaine inviolable aussi bien pour les chefs du Pays Maritime
que pour ceux de Malgî. Malgî était donc limitrophe du Pays Maritime.
J'ai signalé naguères un Ibiq Istar, roi de Malgî, fils de Apil iliàu (OLZ., 1905,
512-513). De la même ou d'une autre souche, je relève aujourd'hui sur un méchant
estampage d'une brique portant 37 lignes d'écriture mi-archaïque le nom de :
^ Ta-ki-il NI(?)-NI-su Takil iliâu (?)
sarru dan-nu-um roi puissant,
sar Ma-al-gi-im roi de Malgî,
mâr (itu) KA-DI a(?)-su(?) fils de KADI asu(?)
Ces petits roitelets tranchaient, comme nous disons familièrement, du sarru
dannum, et parfois peut-être du sar kibrat irbittim, sans qu'ils en eussent le moindre
Bibliographie. — Ce coffret porte les étiquettes n°394, n° 1677, et au Guide du visiteur
au Musée du Caire, 1906, le n° 792. Un autre semblable, ne donnant aucune
variante, porte le n° 1651.
Tableau résumé de la branche* ^^f^> FILS DE
à._a
AWM -H-
-N- V 1 A/WvV\ £^
—a?\ III
1 AAAAAA CJ Q
._af\ Ier
&^ A
I
0
(A suivre.)
NOUVELLES NOTES D'ÉPIGRAPHIE ET D'ARCHÉOLOGIE ASSYRIENNES
PAR
V. SCHEIL
XI
Site, roi et dieux de Malgî. — D'après le kudurru (Mém. Text. êlam. sémit., IV,
p. 87 et suiv.) où Melisihu crée un domaine pour sa fille, la prêtresse Hunnubatum, —
la préfecture de Malgî était desservie par le canal royal nâr sarri; et dans la col. 2,
19, 20, on déclare ce domaine inviolable aussi bien pour les chefs du Pays Maritime
que pour ceux de Malgî. Malgî était donc limitrophe du Pays Maritime.
J'ai signalé naguères un Ibiq Istar, roi de Malgî, fils de Apil iliàu (OLZ., 1905,
512-513). De la même ou d'une autre souche, je relève aujourd'hui sur un méchant
estampage d'une brique portant 37 lignes d'écriture mi-archaïque le nom de :
^ Ta-ki-il NI(?)-NI-su Takil iliâu (?)
sarru dan-nu-um roi puissant,
sar Ma-al-gi-im roi de Malgî,
mâr (itu) KA-DI a(?)-su(?) fils de KADI asu(?)
Ces petits roitelets tranchaient, comme nous disons familièrement, du sarru
dannum, et parfois peut-être du sar kibrat irbittim, sans qu'ils en eussent le moindre