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Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Hrsg.]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Hrsg.]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 34.1912

DOI Heft:
Nr. 3-4
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Spiegelberg, Wilhelm: Koptische Miscellen, [7]
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Boussac, Hippolyte: Le Baléniceps roi: Balæniceps rex, Gould
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https://doi.org/10.11588/diglit.12745#0175

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LE BALENICEPS ROI 163

Versuch sie zu lôsen ist nur môglich im Zusammenhange mit einer umfassenden
Untersuchung der zahlreichen unechten Predigten, die schon in der âltesten, uns noch
erreichbaren Ûberlieferung Johannes Chrysostomos zugeschrieben erscheinen.

2. Der zweite Name des Bruchstùckes bereitet keinerlei Schwierigkeit : es ist der
bekannte Patriarch von Alexandrien Kyrillos (+ 444), der bittere Gegner des Patriar-
chen Nestorios v. Konstantinopel und eifrige Vorkâmpfer der Orthodoxie auf dem
Konzil von Ephesos. Um so schwieriger ist es aber zu bestimmen, welche seiner zahl-
reichen Schriften hier gemeint ist. Am nâchsten liegt es, auch hier an eine Predigt
desselben zu denken. Bei dem allzu fragmentarischen Zustande der letzten Zeile des
Textes wollte mir jedoch kein Identifizierungsversuch gelingen. Der erhaltene Text der
vorletzten Zeile lâsst es auch zu, dass hier auf eine der exegetischen oder der gegen
Nestorios gerichteten dogmatisch-polemischen Schriften des Kyrillos Bezug genommen
wurde. Welche es aber war, lâsst sich nicht mehr feststellen. »

LE BALÉNICEPS ROI

Balaeniceps rex, Gould

par

P.-HlPPOLYTE BOUSSAC

L'étude des monuments pharaoniques nous révèle l'existence, en Egypte, dès la plu
haute antiquité, de diverses espèces d'oiseaux qu'on y chercherait vainement aujourd'hu

Voici un échassier (fig. 1), dont l'aspect général, la forme bien caractérisée du
bec et celle des ailes, permettent de reconnaître le Baléniceps roi. J'ai relevé son
image sur un bas-relief memphite, de la Ve dynastie, où il est représenté au sein des
marais, mêlé a d'autres animaux sauvages dans les fourrés de papyrus.

Inconnu des zoologistes, il y a soixante ans à peine, il fut, pour la première fois,
apporté en Europe par Mansfield Parkyns, à la suite d'une exploration le long du
Nil Blanc. Communiqué à Gould, celui-ci crut y voir le type échassier des Pelecanidae,
en fit la description au mois de janvier 1851 et lui donna le nom générique de Balaeni-
ceps^, genre ne comprenant, jusqu'ici, que cette espèce unique.

C'est seulement dix ans plus tard, en 1860, qu'on vit à Londres, où il mourut peu
de temps après son arrivée, un Baléniceps vivant apporté par Petherik. Le Muséum de
Paris possède trois de ces oiseaux naturalisés, nous donnons la reproduction de l'un
d'entre eux (fig. 2) pour qu'on puisse établir un rapprochement avec l'interprétation
pharaonique.

Les principaux caractères de cette espèce sont un bec énormément robuste, muni
d'une arête dorsale terminée, à sa pointe, par un gros crochet recourbé en dessous; une
tête très forte portant, à l'occiput, une minuscule aigrette; des orbites dénudées, des

LIS

ii.

1. Gould, Proceeclings of the soological Society of Lonclon, January 1851, p. 1, pl. XXXV.
 
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