Le poème de Pentaour.
159
P. L. 4.
L. 13.
K. 10.
misérable
sehu-f2 nef tes-tu neb
er sa-
de Khéta vint, il rassembla pour lui les nations toutes en commençant
P. L. 5.
L. 13.
K. 10.
! I I
em pehu-u4
des extrémités
AAAAAA
AAAAAA
AAAAAA
AAAAAA JZ
^ AAAAAA
AAAAAA
AAAAAA J~
en pa-iuma
de la mer.
1 A A
D
WWV\
D
/VNA/WV
pa to en yeta
Le pays de Kheta
A
B
A
itt e?* t'er-f5
vint tout entier
P. L. 5.
L. 13.
K. 10.
pa-naharina6
le Naharaïn
em/ mà-ti
également,
m
pa-âratu7
le Aradus,
, il s'approcha de son frère aîné. (Ibid., 4, s.)
# I A
quand il arriva à sa maison, il trouva sa femme étendue, etc. Il ne faut pas confondre ce mot avec
<rr> % speru, prière, demande, louange. Cf. cnccm, cene, rogare. (C'est peut-être dans ce dernier sens qu'il
£ il y rn -—-
tant entendre un titre assez fréquent dans 1 ancien empire : Y è| j cnei de l'écriture des demandes, le
maître des requêtes. (J. R.)
1 Le papyrus porte : p-sar yasi-yeru, le chef vil des misérables : le texte de Karnak : p-yer-yasi, le
vil, misérable de Xeta.
2 Seliu, quelquefois 1 ^ ^, rassembler. Cf. coov^, colligere. Lorsque la particule ( \ [ 1 ° qui
commence cette phrase, se trouve dans une proposition où deux faits sont exposés, elle caractérise le plus
ancien des deux, (de Rougé, Abrégé grrnnm., 309.) Ici, quand Ramsès s'approche de Kadesch, le chef des
Khétas avait déjà réuni, etc.
3 Sâ, commencement; cf. ujis., initium, usque ad. Er sa signifie : en commençant à, depuis.
4 Le papyrus du Louvre restitue le mot pehu-u, extrémités, qui est passé dans les deux autres
textes.
5 Er t'er-f, dans son entier-, t'er, tout, entier; cf. Tup, omnis.
6 Ndharina, EP"in3, les deux fleuves, la Mésopotamie(?). Le papyrus a oublié l'N initiale, et orthographié
haranna. Le ^YA est le déterminatif ordinaire du mot ^T) ran, nom; le scribe a mis ici ce détermi-
CL. la AAAAAA r V
natif abusivement, ou du moins seulement comme déterminatif du son ran.
7 Aratu, *lY"iN Aradus, Arvad. Cette localité est souvent citée parmi les villes de la mer. Tont-
ines prend Aratu en revenant de Syrie; or on peut voir par l'inscription qu'il revient par les bords de
la mer.
21*
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de Khéta vint, il rassembla pour lui les nations toutes en commençant
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AAAAAA
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de la mer.
1 A A
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Le pays de Kheta
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itt e?* t'er-f5
vint tout entier
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pa-naharina6
le Naharaïn
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également,
m
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le Aradus,
, il s'approcha de son frère aîné. (Ibid., 4, s.)
# I A
quand il arriva à sa maison, il trouva sa femme étendue, etc. Il ne faut pas confondre ce mot avec
<rr> % speru, prière, demande, louange. Cf. cnccm, cene, rogare. (C'est peut-être dans ce dernier sens qu'il
£ il y rn -—-
tant entendre un titre assez fréquent dans 1 ancien empire : Y è| j cnei de l'écriture des demandes, le
maître des requêtes. (J. R.)
1 Le papyrus porte : p-sar yasi-yeru, le chef vil des misérables : le texte de Karnak : p-yer-yasi, le
vil, misérable de Xeta.
2 Seliu, quelquefois 1 ^ ^, rassembler. Cf. coov^, colligere. Lorsque la particule ( \ [ 1 ° qui
commence cette phrase, se trouve dans une proposition où deux faits sont exposés, elle caractérise le plus
ancien des deux, (de Rougé, Abrégé grrnnm., 309.) Ici, quand Ramsès s'approche de Kadesch, le chef des
Khétas avait déjà réuni, etc.
3 Sâ, commencement; cf. ujis., initium, usque ad. Er sa signifie : en commençant à, depuis.
4 Le papyrus du Louvre restitue le mot pehu-u, extrémités, qui est passé dans les deux autres
textes.
5 Er t'er-f, dans son entier-, t'er, tout, entier; cf. Tup, omnis.
6 Ndharina, EP"in3, les deux fleuves, la Mésopotamie(?). Le papyrus a oublié l'N initiale, et orthographié
haranna. Le ^YA est le déterminatif ordinaire du mot ^T) ran, nom; le scribe a mis ici ce détermi-
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natif abusivement, ou du moins seulement comme déterminatif du son ran.
7 Aratu, *lY"iN Aradus, Arvad. Cette localité est souvent citée parmi les villes de la mer. Tont-
ines prend Aratu en revenant de Syrie; or on peut voir par l'inscription qu'il revient par les bords de
la mer.
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