DOI Artikel:
Gehuzac, Noël: Hamilton Palace, [2]
DOI Artikel:M. Paul Robert
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.19460#0049
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L’ART.
évidé, travail antique, à anses formées de têtes de satyres prises dans la masse, et à festons de
pampres en haut-relief sur la panse. Ces deux pièces, qui excitaient vivement l'intérêt des
Curieux, ont réalisé, la première 61,688 francs, et la seconde 44,100 francs. Cette dernière a,
dès le lendemain, été cédée à l’éminent antiquaire romain, M. Alessandro Castellani.
Noël Gehuzac.
{La suite au prochain numéro.)
M. PAUL ROBERT
la fin de l'article de notre collaborateur, M. Durand-Gréville,
sur le Portrait d’Amerbach, par Holbein, nous avons malen-
contreusement ajouté (page 7) une note par laquelle nous attri-
buions la copie reproduite par nous de ce portrait à M. Paul
Robert, le paysagiste. Nous étions tout heureux d’avoir ren-
contré un jeune homme qui, bien que faisant de très beaux
paysages, ne dédaignait pas d’étudier sérieusement la
J figure, et nous étions tout aise de présenter ce phéno-
mène aux autres artistes. Hélas ! nous n’avions pas songé
qu’il y avait plus d’un Robert et même plus d’un Paul Robert au Salon.
Le livret officiel nous en présente trois : un paysagiste, Léo-Paul
Robert; un peintre de genre, Paul-Joseph Robert; et enfin un M. Paul
Robert, qui exposait le Portrait de Mme H.
C’est de celui-là qu’il s’agissait dans l’article de M. Durand-Gréville.
Voici le passage de la lettre par laquelle notre collaborateur nous
demande cette rectification :
« L’auteur du dessin d’Amerbach est né à Paris ; il est élève de
Guillaumet (l’orientaliste), de Bonnat et de Henner ; il expose depuis
plusieurs années des portraits : — celui de 1881, une jeune femme en noir, à ceinture rouge,
a été très remarqué parmi les artistes; — il avait en 1880 un Souvenir du 2 décembre i85i.
Cette année, il n’a exposé qu’un portrait de femme, n’ayant pas eu le temps de finir une
Andromède qu’il renvoie à l’an prochain, et qui lui fera honneur, — du moins Henner et Guil-
laumet, qui l’ont vue comme moi, sont de cet avis. Si j’entre dans ces détails, c’est pour vous
intéresser à ce jeune artiste et vous engager à lui faire sous une forme quelconque sa petite
réclame dont une erreur l’a privé. Mais encore une fois je m'en l'apporte entièrement à vous
pour la teneur et même l’opportunité de la rectification. »
Lettre composée et dessinée pour l’Art
par J. Habert-Dys.
L’ART.
évidé, travail antique, à anses formées de têtes de satyres prises dans la masse, et à festons de
pampres en haut-relief sur la panse. Ces deux pièces, qui excitaient vivement l'intérêt des
Curieux, ont réalisé, la première 61,688 francs, et la seconde 44,100 francs. Cette dernière a,
dès le lendemain, été cédée à l’éminent antiquaire romain, M. Alessandro Castellani.
Noël Gehuzac.
{La suite au prochain numéro.)
M. PAUL ROBERT
la fin de l'article de notre collaborateur, M. Durand-Gréville,
sur le Portrait d’Amerbach, par Holbein, nous avons malen-
contreusement ajouté (page 7) une note par laquelle nous attri-
buions la copie reproduite par nous de ce portrait à M. Paul
Robert, le paysagiste. Nous étions tout heureux d’avoir ren-
contré un jeune homme qui, bien que faisant de très beaux
paysages, ne dédaignait pas d’étudier sérieusement la
J figure, et nous étions tout aise de présenter ce phéno-
mène aux autres artistes. Hélas ! nous n’avions pas songé
qu’il y avait plus d’un Robert et même plus d’un Paul Robert au Salon.
Le livret officiel nous en présente trois : un paysagiste, Léo-Paul
Robert; un peintre de genre, Paul-Joseph Robert; et enfin un M. Paul
Robert, qui exposait le Portrait de Mme H.
C’est de celui-là qu’il s’agissait dans l’article de M. Durand-Gréville.
Voici le passage de la lettre par laquelle notre collaborateur nous
demande cette rectification :
« L’auteur du dessin d’Amerbach est né à Paris ; il est élève de
Guillaumet (l’orientaliste), de Bonnat et de Henner ; il expose depuis
plusieurs années des portraits : — celui de 1881, une jeune femme en noir, à ceinture rouge,
a été très remarqué parmi les artistes; — il avait en 1880 un Souvenir du 2 décembre i85i.
Cette année, il n’a exposé qu’un portrait de femme, n’ayant pas eu le temps de finir une
Andromède qu’il renvoie à l’an prochain, et qui lui fera honneur, — du moins Henner et Guil-
laumet, qui l’ont vue comme moi, sont de cet avis. Si j’entre dans ces détails, c’est pour vous
intéresser à ce jeune artiste et vous engager à lui faire sous une forme quelconque sa petite
réclame dont une erreur l’a privé. Mais encore une fois je m'en l'apporte entièrement à vous
pour la teneur et même l’opportunité de la rectification. »
Lettre composée et dessinée pour l’Art
par J. Habert-Dys.