Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

La chronique des arts et de la curiosité — 1863

DOI Heft:
Nr. 14 (22 Février)
DOI Seite / Zitierlink: 
https://doi.org/10.11588/diglit.26562#0136
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
186 3.—N° 14.

BUREAUX, 55, RUE VIVIENNE.

22 Février.

LA

CHRONIQUE DES ARTS

ET DE LA CURIOSITÉ

paraissant le dimanche matin

Les Qdbonnés à une année entière de la Gazette des Beaux-Arts reçoivent gratuitement
la Chronique des Arts et de la Curiosité.

Un an .

PARIS ET DÉPARTEMENTS

. . 10 fr. I Six mois

6 fr.

AUX SOUSCRIPTEURS

DE LA GAZETTE DES BEAUX-ARTS.

La Gazette des Beaux-Arts voulant
offrir en prime à ses souscripteurs le
chef-d’œuvre de la gravure moderne,
I’Hemicycle de Paul Delaroche, gravé
par Henriquel Dupont, avait passé un
traité avec la maison Goupil, proprié-
taire de cette magnifique planche.

Ce traité, après une prorogation de
trois mois, expire définitivement le
31 mars prochain, et nous croyons
devoir en prévenir nos souscripteurs,
puisque c’est à eux qu’en revient le plus
grand avantage : un bénéfice de 90 fr.
Nous leur rappelons donc que, moyen-
nant 70 francs au lieu de 150 fr., ils
peuvent se procurer une belle épreuve
de PHémicycle à choisir par eux-mêmes, j
à la condition de souscrire aux quatre
premières années delà Gazette, formant
treize beaux volumes ornés de 100 plan-
ches sur acier et de 700 gravures
sur bois. Ces treize volumes, valant
160 fr. et l’épreuve de l’Hémicycle
150 francs, leur coûteront donc (au lieu
de 310 fr.) 220 francs, payables : 70 fr.

en souscrivant; le reste de trois mois
en trois mois.

Pour ceux de nos souscripteurs qui,
possédant déjà les quatre premières
années de la Gazette, voudraient jouir du
même avantage, ils le pourront en
s’abonnant d’avance à l’année 1861.

À partir du 1er avril, la gravure de
Henriquel Dupont sera remise par la
maison Goupil à son ancien prix : 150 fr.

LA GALERIE YIARDOT.

La plus grande artiste de nos scènes
lyriques, Pauline Viardot, se dispose à
quitter le théâtre, et Paris, et la France. Le
charmant hôtel qu’elle occupait à l’extré-
mité de la rue de Douai, près de la place
Yintimille, va être mis en vente. Cet hôtel
se terminait autrefois par une grande
serre dont la toiture vitrée

Recélait le printemps au milieu des hivers,

alors que Paris finissait là, et qu’il
n’y avait autour de cette dernière mai-
son que des murs ou des terrains
vagues. Depuis, M. Yiardot avait trans-
formé la serre de son hôtel en un ca-
binet de tableaux, préférant aux jardins
factices les vrais paysages de Ruysdaël,les
dunes de YVouwermans, les délicieuses
nuits de Vander Neer et le mystère des fo-
 
Annotationen