DOI Heft:
Nr. 5
DOI Artikel:Rosenthal, Léon: Les salons de 1912, 1
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.24884#0375
LES SALONS DE 1912
353
de sa pureté. Les touches que M. Signac pose, parallèles et normales
au cadre, et auxquelles il ne donne point un rôle actif, suivent,
chez Mrne Lucie Cousturier, le rythme des lignes sinueuses. M"'° Chau-
chet-Guilleré enrichit sa palette de laques, carmins et pourpres, et
PETITE FILLE, TABLEAU DE M. PI CA RT LEDOUX
(Société des Artistes indépendants.)
ses lleurs en prennent plus de chaleur et un aspect plus affiné.
Les Jardins de M. André-Faure, Y Intérieur de forêt de M. Haart-
man s’écartent davantage encore de la stricte observance. Des effets
plus intenses, mais aussi des parties dures ou lourdes, résultent de
ces déviations.
Vil.
4e PÉRIODE.
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de sa pureté. Les touches que M. Signac pose, parallèles et normales
au cadre, et auxquelles il ne donne point un rôle actif, suivent,
chez Mrne Lucie Cousturier, le rythme des lignes sinueuses. M"'° Chau-
chet-Guilleré enrichit sa palette de laques, carmins et pourpres, et
PETITE FILLE, TABLEAU DE M. PI CA RT LEDOUX
(Société des Artistes indépendants.)
ses lleurs en prennent plus de chaleur et un aspect plus affiné.
Les Jardins de M. André-Faure, Y Intérieur de forêt de M. Haart-
man s’écartent davantage encore de la stricte observance. Des effets
plus intenses, mais aussi des parties dures ou lourdes, résultent de
ces déviations.
Vil.
4e PÉRIODE.