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Kalinowska, Janina: Mysterium septiformis Ecclesiae
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.19644#0079
14. Rome. Sta Costanza. Mosaïque de l'une de trois absides (selon Leclercq,
rep. A. Rzepecki)
autour d'elle les six basiliques: Sta Maria Maggiore, S. Pietro, S. Paolo f.l.m., S. Sebastiano,
Sta Croce in Jerusalemme et S. Lorenzo sont visitées par les cortèges des pèlerins. Sur une
autre gravure, particulièrement intéressante, tout le programme paléochrétien est lisible avec
son ancien symbolisme de l'universalité de l'Eglise remplie de la grâce des sept dons de
l'Esprit Saint. Dans la partie inférieure de la gravure où est représentée la sphère terrestre, on
voit les sept églises „le sette chiese di Roma" avec la cathédrale du Latran au centre (nommé
ici de Saint-Jean, le titre populaire, „depravate dicitur" comme dit Panvinio, mais
communément en usage). Plus haut, sur les nuages, restent debout les sept anges aux
encensoirs et à leur côté brûlent sept candélabres. Les anges, ainsi que les sept saints
patrons titulaires des sept églises se tournent vers le Sauveur (fig. 16).
Dans la marge inférieure de la gravure il y a des inscriptions se rapportant aux textes de
l'Evangile et de l'Apocalypse. L'une d'elle explique les idées directrices de cette représenta-
tion: les saints titulaires des sept églises prient pour l'universalité de l'Eglise; les Anges des
sept Eglises, c'est-à-dire le Saint Esprit, représentent l'Eglise Universelle, avec le feu saint des
cierges — la foi vraie du Christ60.
Le programme de cette gravure prouve la durabilité, à travers les siècles des idées
exprimées par les sept anges avec des candélabres ou des candélabres seuls des deux côtés du
Sauveur ou de l'Agneau mystique61.
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rep. A. Rzepecki)
autour d'elle les six basiliques: Sta Maria Maggiore, S. Pietro, S. Paolo f.l.m., S. Sebastiano,
Sta Croce in Jerusalemme et S. Lorenzo sont visitées par les cortèges des pèlerins. Sur une
autre gravure, particulièrement intéressante, tout le programme paléochrétien est lisible avec
son ancien symbolisme de l'universalité de l'Eglise remplie de la grâce des sept dons de
l'Esprit Saint. Dans la partie inférieure de la gravure où est représentée la sphère terrestre, on
voit les sept églises „le sette chiese di Roma" avec la cathédrale du Latran au centre (nommé
ici de Saint-Jean, le titre populaire, „depravate dicitur" comme dit Panvinio, mais
communément en usage). Plus haut, sur les nuages, restent debout les sept anges aux
encensoirs et à leur côté brûlent sept candélabres. Les anges, ainsi que les sept saints
patrons titulaires des sept églises se tournent vers le Sauveur (fig. 16).
Dans la marge inférieure de la gravure il y a des inscriptions se rapportant aux textes de
l'Evangile et de l'Apocalypse. L'une d'elle explique les idées directrices de cette représenta-
tion: les saints titulaires des sept églises prient pour l'universalité de l'Eglise; les Anges des
sept Eglises, c'est-à-dire le Saint Esprit, représentent l'Eglise Universelle, avec le feu saint des
cierges — la foi vraie du Christ60.
Le programme de cette gravure prouve la durabilité, à travers les siècles des idées
exprimées par les sept anges avec des candélabres ou des candélabres seuls des deux côtés du
Sauveur ou de l'Agneau mystique61.
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