CENT PORTRAITS DE FEMMES DE XVIIIe SIÈCLE 483
c’est, je crois bien, la première fois qu’Hogarth et Zoffany font leur
apparition dans une exposition parisienne. Hogarth s’y montre
même avec une préparation à l’huile, tout comme Reynolds avec
PORTRAIT DE MRS WILLIAMS, PAR J. HOPPNER
(Collection de Mme F.-C.-K. Fleischmann.)
l’ébauche de son célèbre portrait de la comtesse Spencer et de sa
fille Georgina, et cette initiation du spectateur aux tâtonnements du
peintre est des plus instructives. La Marchande de cresson de Zoffany
nous transporte pour un moment dans les rues grouillantes de
Londres, dont Hogarth n’a connu que les maisons bien ou malfamées
c’est, je crois bien, la première fois qu’Hogarth et Zoffany font leur
apparition dans une exposition parisienne. Hogarth s’y montre
même avec une préparation à l’huile, tout comme Reynolds avec
PORTRAIT DE MRS WILLIAMS, PAR J. HOPPNER
(Collection de Mme F.-C.-K. Fleischmann.)
l’ébauche de son célèbre portrait de la comtesse Spencer et de sa
fille Georgina, et cette initiation du spectateur aux tâtonnements du
peintre est des plus instructives. La Marchande de cresson de Zoffany
nous transporte pour un moment dans les rues grouillantes de
Londres, dont Hogarth n’a connu que les maisons bien ou malfamées