LA SALLE DE MICHEL-ANGE
AU LOUVRE
ET SA NOUVELLE INSTALLATION
(deuxième et dernier a ht ici. e.)
LES BRONZES DE M. Il 1S DE LA SALLE.
ous avons dit dans notre précédent article
quel titre M. His de la Salle avait acquis
à la reconnaissance de tous les amis des
arts. Nous croyons savoir que le généreux
donateur qui, avec un sentiment de mo-
destie bien rare en ce temps, se considère
comme indigne de nos éloges tant qu’il
n’aura pas, suivant l’idée qu’il caresse de-
puis longtemps, complété, en l’amplifiant,
ce premier trait de libéralité, nous fournira
prochainement l’occasion de lui manifester
à nouveau cette reconnaissance. Quoi qu’il
en soit, nous renouvelons à M. His de la
Salle, au nom des jouissances que ses
bronzes exquis nous ont déjà fait éprouver, l’expression de notre profonde
gratitude, nous croyant d’ores et déjà fort au-dessous des sentiments
que tout acte de cette nature doit inspirer. Nous manquerions aussi à la
plus vulgaire équité si nous ne réservions pas une large part de nos
remercîments à l’honorable et ferme administrateur de notre Louvre. 11
nous est impossible d’oublier que c’est à l’estime réciproque et à la vieille
amitié qui lient depuis de longues années M. Reiset et M. Ilis de la Salle,
que nous devons en grande partie ces bronzes qui sont maintenant pour
nous un si légitime sujet d’orgueil.
AU LOUVRE
ET SA NOUVELLE INSTALLATION
(deuxième et dernier a ht ici. e.)
LES BRONZES DE M. Il 1S DE LA SALLE.
ous avons dit dans notre précédent article
quel titre M. His de la Salle avait acquis
à la reconnaissance de tous les amis des
arts. Nous croyons savoir que le généreux
donateur qui, avec un sentiment de mo-
destie bien rare en ce temps, se considère
comme indigne de nos éloges tant qu’il
n’aura pas, suivant l’idée qu’il caresse de-
puis longtemps, complété, en l’amplifiant,
ce premier trait de libéralité, nous fournira
prochainement l’occasion de lui manifester
à nouveau cette reconnaissance. Quoi qu’il
en soit, nous renouvelons à M. His de la
Salle, au nom des jouissances que ses
bronzes exquis nous ont déjà fait éprouver, l’expression de notre profonde
gratitude, nous croyant d’ores et déjà fort au-dessous des sentiments
que tout acte de cette nature doit inspirer. Nous manquerions aussi à la
plus vulgaire équité si nous ne réservions pas une large part de nos
remercîments à l’honorable et ferme administrateur de notre Louvre. 11
nous est impossible d’oublier que c’est à l’estime réciproque et à la vieille
amitié qui lient depuis de longues années M. Reiset et M. Ilis de la Salle,
que nous devons en grande partie ces bronzes qui sont maintenant pour
nous un si légitime sujet d’orgueil.