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https://doi.org/10.11588/diglit.4053#0388
CHAPITRE %. 359
dti chapiteau corinthien : quel que soit son degré de probabilité, elle
est possible puisque derrière les feuilles d'acàhthè il j a tin 'corps
solide, le vase ou la corbeille recouvert de la tuile, qui détermine
la position des feuilles. On ne comprend pas aussi bien comment des
feuilles minces tet recourbées, qu'il faut supp^séï avoir poussé entre
les joints des pierres^ auraient pu donner l'idée d'une moulure au
profil sévère, à la masse puissante," qui se continué souvent sûr
toute la longueur des temples. Après avoir trouvé cette forme, les
anciens y ont appliqué un ornement qui convenait à son profil et
dont les traces ont inspiré à M. Bcèttichér l'idée qu'il préconise.
Nous né saurions admettre qU'On attribué à la ferme d'un Orne-
ment l'origine de l'objet qui eh est orné; il nous semblé surtout peu
rationnel de vouloir généraliser un système établi sur dés bases aussi
peu solides.
CHAPITRE HUITIEME.
CONCLUSION DES CHAPITRES PRÉCÉDENTS.
Nous avons cherché à indiquer dans les chapitres précédents les
transformations qu'a subies la construction en bois.des temples:
mais quand et comment la pierre a-t-elîe remplacé le bois? Une
théorie sur ce sujet serait tout à fait prématurée, il ya seulement
lieu ue croire qu'on a commencé a employer 'cette matière aux rem-
plissages entre les colonnes dans les templesdits pSteUdopériptérés,
aux murs de la cella dans les temples périptères. La terré, les
roseaux et les cailloux des clôtures primitives devaient amener
naturellement l'usage des pierres, dont on trouvait dans les roches
des morceaux tout préparés d'uh maniement commode OU que l'on
pouvait briser sans recourir à des instruments perféetTOhnés. Ces
murs, construits avec une même espèce de matériaux, étaient plus
dti chapiteau corinthien : quel que soit son degré de probabilité, elle
est possible puisque derrière les feuilles d'acàhthè il j a tin 'corps
solide, le vase ou la corbeille recouvert de la tuile, qui détermine
la position des feuilles. On ne comprend pas aussi bien comment des
feuilles minces tet recourbées, qu'il faut supp^séï avoir poussé entre
les joints des pierres^ auraient pu donner l'idée d'une moulure au
profil sévère, à la masse puissante," qui se continué souvent sûr
toute la longueur des temples. Après avoir trouvé cette forme, les
anciens y ont appliqué un ornement qui convenait à son profil et
dont les traces ont inspiré à M. Bcèttichér l'idée qu'il préconise.
Nous né saurions admettre qU'On attribué à la ferme d'un Orne-
ment l'origine de l'objet qui eh est orné; il nous semblé surtout peu
rationnel de vouloir généraliser un système établi sur dés bases aussi
peu solides.
CHAPITRE HUITIEME.
CONCLUSION DES CHAPITRES PRÉCÉDENTS.
Nous avons cherché à indiquer dans les chapitres précédents les
transformations qu'a subies la construction en bois.des temples:
mais quand et comment la pierre a-t-elîe remplacé le bois? Une
théorie sur ce sujet serait tout à fait prématurée, il ya seulement
lieu ue croire qu'on a commencé a employer 'cette matière aux rem-
plissages entre les colonnes dans les templesdits pSteUdopériptérés,
aux murs de la cella dans les temples périptères. La terré, les
roseaux et les cailloux des clôtures primitives devaient amener
naturellement l'usage des pierres, dont on trouvait dans les roches
des morceaux tout préparés d'uh maniement commode OU que l'on
pouvait briser sans recourir à des instruments perféetTOhnés. Ces
murs, construits avec une même espèce de matériaux, étaient plus