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https://doi.org/10.11588/diglit.4053#0530
500 LIVRE SEPTIÈME. — CHAP. 20.
dans les deux pouvaient être réunies par des parois pleines ou
bien on les laissait séparées et on décorait la partie de la couverture
qui s'apercevait par le vide du plafond.
Dans les temples à colonnades intérieures, l'éclairage par les
entre-colonnements de celles-ci, sans être aussi rigoureusement
démontré, a pour lui toutes les probabilités possibles; avec cette
disposition le jour venait par l'étage de colonnes le plus élevé, le
deuxième ou le troisième, suivant les dimensions extérieures des
temples et les hauteurs proportionnelles qui en résultaient pour les
cellas.
Il y a tout lieu de croire que les deux systèmes furent connus dès
les premiers temps de l'architecture grecque : il est quant à présent
assez difficile de déterminer quels motifs pouvaient les faire choisir,
et par suite d'établir avec un degré suffisant d'exactitude à quels
temples on les avait appliqués.
dans les deux pouvaient être réunies par des parois pleines ou
bien on les laissait séparées et on décorait la partie de la couverture
qui s'apercevait par le vide du plafond.
Dans les temples à colonnades intérieures, l'éclairage par les
entre-colonnements de celles-ci, sans être aussi rigoureusement
démontré, a pour lui toutes les probabilités possibles; avec cette
disposition le jour venait par l'étage de colonnes le plus élevé, le
deuxième ou le troisième, suivant les dimensions extérieures des
temples et les hauteurs proportionnelles qui en résultaient pour les
cellas.
Il y a tout lieu de croire que les deux systèmes furent connus dès
les premiers temps de l'architecture grecque : il est quant à présent
assez difficile de déterminer quels motifs pouvaient les faire choisir,
et par suite d'établir avec un degré suffisant d'exactitude à quels
temples on les avait appliqués.