UNE COLLECTION D'ORFÈVRERIE FRANÇAISE. 3^7
retrouvons bien des noms célèbres dans les signatures. C’est d’abord ce
nom de Germain porté par deux illustres artistes : Thomas et Pierre. Puis
c’est Robert Joseph-Auguste, qui avait sa demeure place du Carrousel, —
François Joubert, sorti d’une famille d’orfèvres et entré dans la maîtrise
AIGUIÈRE EN ARGENT, FAITE SOUS JACQUES COTTIN EN IT 27.
(Collection de M. Paul Eudel.)
en 1749, — les Loir, dont l’un dirigea l’atelier d’orfèvrerie des Gobelins
après Claude de Villiers, — Louis-Thomas Lehendrick ou Lenhendrick,
Grand-garde de la corporation en 1776, — Jean-Baptiste Chéret, con-
seiller de ville, issu d’une famille vouée à l’orfèvrerie, — Michel-Fran-
çois Montaigne, ((privilégié de monseigneur le duc d’Orléans ».
Sans doute il suffit d’avoir des yeux pour voir et du goût pour aimer
retrouvons bien des noms célèbres dans les signatures. C’est d’abord ce
nom de Germain porté par deux illustres artistes : Thomas et Pierre. Puis
c’est Robert Joseph-Auguste, qui avait sa demeure place du Carrousel, —
François Joubert, sorti d’une famille d’orfèvres et entré dans la maîtrise
AIGUIÈRE EN ARGENT, FAITE SOUS JACQUES COTTIN EN IT 27.
(Collection de M. Paul Eudel.)
en 1749, — les Loir, dont l’un dirigea l’atelier d’orfèvrerie des Gobelins
après Claude de Villiers, — Louis-Thomas Lehendrick ou Lenhendrick,
Grand-garde de la corporation en 1776, — Jean-Baptiste Chéret, con-
seiller de ville, issu d’une famille vouée à l’orfèvrerie, — Michel-Fran-
çois Montaigne, ((privilégié de monseigneur le duc d’Orléans ».
Sans doute il suffit d’avoir des yeux pour voir et du goût pour aimer