Gazette des beaux-arts: la doyenne des revues d'art (3. Pér. 14.1895)

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JEAN PERRÉAL, DIT JEAN DE PARIS.

personnelle, de pompeux étendards: rien n’y fut épargné, on y
dépensa 2,438 livres. Bonne aubaine! Eli bien ! Perréal n’y eut point
de part. La commande alla aux peintres du roi Bourdichon et Liévain,


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TOMBEAU DE LOUIS XII ET D'ANNE DE BRETAGNE (FRAGMENT)

(Eglise de Saint-Denis.)

et aussi, chose plus cruelle, au vieux Jean Prévost de Lyon, avec
son acolyte Pierre d’Aubenas, que Perréal et Clément Trie croyaient
bien avoir éclipsés * 1 ! Bien plus, en 1496, au retour de la campagne,
Perréal figure dans un document officiel comme simple peintre

i. Voir, pour plus de détails, notre Histoire de Louis XII, t. Ul, p. 4!) et.suiv.

XIV.

3e PÉRIODE.

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