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Nous avons vu fonctionner les deux petites ment, les comparer aux produits de la fabri-
machines de M. Jaspart : elles sont simple- cation de M. Jaspart.
ment déconcertantes dans leur effet utile. M. Offenbacher a cru meilleur, pour sa
Quant à leur prix, il ne nous concerne pas cause, de s'abstenir. Notre devise dans cette
de le donner ici, les intéressés pourront aisé- discussion fut : Acla non verla. M. Offenba-
ment le connaître. cher préfère : Verla non acta, et nous avons
Au cours de cette visite, M. Jaspart nous a toujours attendu,sous l'arbre prosaïque d'une
rendu compte des derniers épisodes de ses transmission déjà évoqué, la preuve des
démêlés avec son concurrent allemand, soi-disant contrefactions de M. Jaspart.
M. Offenbacher, en nous priant de les publier. Le constructeur allemand préfère à la lutte
Comme nous avons mis autrefois nos lec- loyale et franche, aux débats rendus publics
teurs au courant de ces démêlés, grâce aux par la grande dispersion de notre organe
La machine à moulurer.
lettres que nous écrivait M. Offenbacher, nous
ne pouvons moins faire que d'accéder au
désir de M. Jaspart.
Nos lecteurs se souviendront peut-être delà
demande que nous fîmes autrefois à M. Offen-
bacher, de Markt-Redwitz (Allemagne). Il
s'agissait de nous envoyer simplement un
éclat de l'une des meules ou de l'une des scies
circulaires de sa fabrication, outils archi-
brevetés, disait-il, afin que nous puissions,
en toute liberté et toute sincérité de juge-
dans le monde marbrier, la lutte par les
petits moyens; et, n'osant plus s'attaquer à
M. Jaspart, il essaie l'intimidation auprès des
industriels qui utilisent les outils de M. Jas-
part. Il s'est dit que ces industriels ne
connaissaient pas à fond les lois de protection
des brevets et il essaie l'intimidation.
M. le D1' Waldeck, défenseur des intérêts
de M. Jaspart, mit heureusement le holà à
ce procédé de concurrence d'un genre sinon
nouveau, tout au moins répudié par les gens
Nous avons vu fonctionner les deux petites ment, les comparer aux produits de la fabri-
machines de M. Jaspart : elles sont simple- cation de M. Jaspart.
ment déconcertantes dans leur effet utile. M. Offenbacher a cru meilleur, pour sa
Quant à leur prix, il ne nous concerne pas cause, de s'abstenir. Notre devise dans cette
de le donner ici, les intéressés pourront aisé- discussion fut : Acla non verla. M. Offenba-
ment le connaître. cher préfère : Verla non acta, et nous avons
Au cours de cette visite, M. Jaspart nous a toujours attendu,sous l'arbre prosaïque d'une
rendu compte des derniers épisodes de ses transmission déjà évoqué, la preuve des
démêlés avec son concurrent allemand, soi-disant contrefactions de M. Jaspart.
M. Offenbacher, en nous priant de les publier. Le constructeur allemand préfère à la lutte
Comme nous avons mis autrefois nos lec- loyale et franche, aux débats rendus publics
teurs au courant de ces démêlés, grâce aux par la grande dispersion de notre organe
La machine à moulurer.
lettres que nous écrivait M. Offenbacher, nous
ne pouvons moins faire que d'accéder au
désir de M. Jaspart.
Nos lecteurs se souviendront peut-être delà
demande que nous fîmes autrefois à M. Offen-
bacher, de Markt-Redwitz (Allemagne). Il
s'agissait de nous envoyer simplement un
éclat de l'une des meules ou de l'une des scies
circulaires de sa fabrication, outils archi-
brevetés, disait-il, afin que nous puissions,
en toute liberté et toute sincérité de juge-
dans le monde marbrier, la lutte par les
petits moyens; et, n'osant plus s'attaquer à
M. Jaspart, il essaie l'intimidation auprès des
industriels qui utilisent les outils de M. Jas-
part. Il s'est dit que ces industriels ne
connaissaient pas à fond les lois de protection
des brevets et il essaie l'intimidation.
M. le D1' Waldeck, défenseur des intérêts
de M. Jaspart, mit heureusement le holà à
ce procédé de concurrence d'un genre sinon
nouveau, tout au moins répudié par les gens