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Journal de la marbrerie et de l'art décoratif: bimensuel — 4.1907 (Nr. 77-100)

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Supplement au Nr. 84
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Le sciage des marbres, [1]
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Notes d'architecture
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https://doi.org/10.11588/diglit.17229#0072

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04

arriveraient à l'extrémité de leur course, linéaire, pour faire retour,et demanderait un

elles rencontreraient une grande quantité effort très considérable des manivelles,
de sable dans les traits qu'elles devraient Les lames auraient beaucoup à souffrir et

rejeter sur les côtés, où il exercerait une seraient bientôt mises hors de service, car

très grande pression. elles s'useraient très fortement et surtout par

De sorte qu'avec ce nouveau système de les deux bouts, si on employait le projet de

suspension, les lames à leur départ, dans un suspension avec ses deux points écartés l'un

sens ou dans l'autre, se trouveraient sans de l'autre et, au contraire, par le milieu si

sable sous leur partie inférieure et en même on employait l'autre projet,
temps étranglées sur les côtés. D'ailleurs,ces dispositions sont des défauts

Cette situation serait d'autant plus préju- de construction que nous avons eu l'occasion

diciable qu'elle aurait lieu juste au moment de devoir corriger dans d'anciennes scie-

où les châssis devraient rompre leur vitesse ries établies avant 1850. (A suivre.)

—0--^-

JVfotes d'architecture

Un ami de Douai vient de nous envoyer la
photographie, que nous nous faisons un plai-
sir de reproduire, d'un monument funéraire
érigé dans sa ville par un des plus distin-
gués architectes de la région, M. Henri Sirot.

L'auteur est un jeune, très connu et estimé
dans le Nord, tant par ses fonctions d'archi-
tecte en chef de la ville de Cambrai, profes-
seur d'architecture et de perspective aux écoles
académiques, que par les intéressants et nom-
breux travaux particuliers qu'il a fait exé-
cuter depuis huit ans dans la région.

Ancien élève de l'Ecole Nationale des
Beaux-Arts de Paris, premier se-
cond grand prix de Rome en 1899,
lauréat de l'Exposition universelle
de 1900, médaillé de deuxième
classe au Salon des Artistes fran-
çais, l'Etat lui accorda une bourse
de voyage, pour ses œuvres du
Salon de 1898, et pendant un an
il visita l'Italie et puisa dans cette
admirable source d'art les élé-
ments qui enrichirent encore son

Monument funéraire à Louai. — H. Sirot, architecte.

talent.
 
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