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Journal de la marbrerie et de l'art décoratif: bimensuel — 4.1907 (Nr. 77-100)

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Supplement au Nr. 87
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La sculpture au Salon de 1907 des Artistes français, [1]
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https://doi.org/10.11588/diglit.17229#0093

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ALLIOT (Lucien-Charles) En outre, enfin, la vieillesse chante le passé

à jamais perdu et la résignation.

NéàParis, élève de Barrias et Coulan,déjà 'Nous sommes heureux de donner ici la

mentionné en 1903, obtient cette année une reproduction de cette oeuvre remarquable,
médaille de 3e classe pour son envoi, La
Chanson de la Vie, groupe en plâtre où l'au-
teur a su faire ressortir les trois âges de
l'existence humaine.

A gauche, la jeunesse chante l'innocence

et l'insouciance, et elle les chante avec tant Chanter à nouveau le triomphe du marbre

d'entrain qu'elle fait éprouver des regrets serait banal. Constatons cependant qu'il y a

d'avoir déjà quitté cette époque si aimable. une tendance de plus en plus marquée vers

Adroite, l'âge viril chante la force chez l'abandon des bronzes, grès et autres matières

l'homme et le charme chez la femme, et peut-être d'une grande valeur dans certaines

comme on sent qu'ils doivent faire à eux deux applications décoratives, mais convenant peu

un charmant duo. à l'art du statuaire.

La Chanson pe la Vie . L-.AUwt, statuaire
 
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