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Journal de la marbrerie et de l'art décoratif: bimensuel — 4.1907 (Nr. 77-100)

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Supplement au Nr. 96
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Le travail dans les Carrières des Indes Anglaises
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https://doi.org/10.11588/diglit.17229#0167

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signal d'un danger; ils ouvrent en plein les et lorsque l'explosion ne se produit pas assez

robinets de vapeur ou d'huilage; ils courent vite, l'ouvrier qui a allumé la mèche ira

autour des puits et aux bords des excavations voir si elle n'est pas éteinte. Si l'explosion se

profondes, et leurs promenades favorites produit à ce moment-là et qu'il est blessé, .il

sont dans le voisinage des endroits les plus a au moins un alibi, prix : une roupie,
dangereux.

Cariatides

Dans ces circonstances, on peut difficile-
ment conseiller l'emploi, dans les carrières,
des procédés qui lancent les blocs comme des
boulets de canon.

Lorsque l'ouvrier doute du renversement
proche d'une masse, il ira le contrôler de
près et se placera de manière à être certaine-
ment écrasé. Où l'on travaille à la dynamite

Nous disions plus haut que les salaires sont
extrêmement minimes en comparaison de
ceux payés dans les pays civilisés. Un ouvrier
carrier gagne sept roupies par mois, — la
roupie vaut fr. 1.65 —; un employé a de 15
à 20 roupies, suivant ses capacités; un méca-
nicien, 10 roupies; un contremaître touche
12 roupies, toujours par mois. Quant aux
 
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