APPROUVsES PAR l'AcADÊMIE. 3$
Jusqu’ici ces pistons ne reçoivent de la machine qu’un ...
mouvement vertical de bas en haut, pour faire monter 173
l'eau , ôt rien ne les détermine à descendre , si ce n’est ieur N°. 4,3 1,
pesanteur ôc celle de leurs tirans ; mais si toutes les pie- ■ —
ces étoient en équilibre la pesanteur n auroit plus iieu
pour obliger le piston à descendre.
Comme ie mouvement des balanciers est aiternatif y
c’est-à-dire5 qu’ii y a toujours aun côté de la machine,
un balancier qui tire ie piston , pendant qu’un baian-
cier de sautre côté doit iaistser descendre son piston, f Au-
teur lie ces deux baianciers ensembie par un troisieme
balancier ausïi en bascule, ensorte que le balancier quî
tire son piiton détermine sautre à se mouvoir à contre-
sens & à iaiïser descendre le sien.
Comme la Seine varie considérablement en force,
M. de Farcieux change les points de tirage de ces ba-
lanciers, & les approche plus ou moins du centre de
leur mouvement, suivant le plus ou moins de force du
courant.
Cette Machine nous a paru plus stmpîe, moins sujette
à réparation ôc à laiïïer perdre la force que celles où
son empioie des rouets <& des lanternes ; sa compost-
tion nous paroît bien entendue, ôc les changemens des
points de tirage que l’Auteur propose nous paroiïïentnou-
veaux ôc nécestsaires pour profiter de toute la force du
courant.
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Jusqu’ici ces pistons ne reçoivent de la machine qu’un ...
mouvement vertical de bas en haut, pour faire monter 173
l'eau , ôt rien ne les détermine à descendre , si ce n’est ieur N°. 4,3 1,
pesanteur ôc celle de leurs tirans ; mais si toutes les pie- ■ —
ces étoient en équilibre la pesanteur n auroit plus iieu
pour obliger le piston à descendre.
Comme ie mouvement des balanciers est aiternatif y
c’est-à-dire5 qu’ii y a toujours aun côté de la machine,
un balancier qui tire ie piston , pendant qu’un baian-
cier de sautre côté doit iaistser descendre son piston, f Au-
teur lie ces deux baianciers ensembie par un troisieme
balancier ausïi en bascule, ensorte que le balancier quî
tire son piiton détermine sautre à se mouvoir à contre-
sens & à iaiïser descendre le sien.
Comme la Seine varie considérablement en force,
M. de Farcieux change les points de tirage de ces ba-
lanciers, & les approche plus ou moins du centre de
leur mouvement, suivant le plus ou moins de force du
courant.
Cette Machine nous a paru plus stmpîe, moins sujette
à réparation ôc à laiïïer perdre la force que celles où
son empioie des rouets <& des lanternes ; sa compost-
tion nous paroît bien entendue, ôc les changemens des
points de tirage que l’Auteur propose nous paroiïïentnou-
veaux ôc nécestsaires pour profiter de toute la force du
courant.
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