218 Re CÜEIL DES MACHINES
- courir en sens contraire vers D H, le tour du cadran
1743. & un peu plus , & dépasser le nombre iÿ j pour iors
N°.4^i. elle se trouve dans son repos.
--- A l’axe de la roue R (fig. 3 ôc 4. ) eft un petit ba-*
rillet K, qui contient le ressort, & fur ce bariilet est
un chaperon, fur lequel esl pratiquée une entaille à un
endroit déterminé ; sur ce chaperon pose une détente
brisée ôc à ressort L, qui pendant le mouvement de la
montre, fait tourner le chaperon à frottement léger ,
sous la détente jusqu’à ce qu’elle rencontre i’entailie :
alors le bout de la détente s*encoche & arrête le mou-j
vement.
A Parbre de ce même encli£iage, efl: un ressort M 9
qui frotte Ôc s’appuie sur le bord du balancier pour l’ar-
rêter, pendant que la partie O de cet encli&age entre
dans la piatine du bariiiet, qui ne fait tourner l’arbre
qu’après avoir pouilé îa detente G qui ia faic sortir de
son entaille, ôc dans laquelle elie ne rentre qu’aprèsla
révolution entiere de raiguilie ôc de cette même pla-,
que, qui marchent ensemble. La piece N (fig. 4.) sert
à terminer la rencontre , & il faut observer que Fenclic-
tage soit fait de 3 o dents e'gales à la division du cadran \
saiguille bat chaque seconde en 3 temps.
Le pignon P qui tient à l’arbre de ia roue de ren-
contre Q , engrene dans la roue R, qui le fait mou-
voir ; c’est parconséquent de i’échappemenr que dépend
la juflesse de cette horloge qui se manifeste par les mou«
veniens de l’aiguiile.
La platine SS ( fig. 4 & y. ) efl fixée verticalement
sur la platine du cadran ; eile porte le coq T , sur le-
quel est une espece d’aiguüle V , attachée par une vis ,
dont la queue X efl garnie d’un petit crystal, contre
lequel porte le pivot de la roue de rencontre : il y a,
comme aux autres montres, un.cadran W (fig. 3 ) avec
son aiguiüe, qui méne un ratéau^ pour avancer ôc re-
- courir en sens contraire vers D H, le tour du cadran
1743. & un peu plus , & dépasser le nombre iÿ j pour iors
N°.4^i. elle se trouve dans son repos.
--- A l’axe de la roue R (fig. 3 ôc 4. ) eft un petit ba-*
rillet K, qui contient le ressort, & fur ce bariilet est
un chaperon, fur lequel esl pratiquée une entaille à un
endroit déterminé ; sur ce chaperon pose une détente
brisée ôc à ressort L, qui pendant le mouvement de la
montre, fait tourner le chaperon à frottement léger ,
sous la détente jusqu’à ce qu’elle rencontre i’entailie :
alors le bout de la détente s*encoche & arrête le mou-j
vement.
A Parbre de ce même encli£iage, efl: un ressort M 9
qui frotte Ôc s’appuie sur le bord du balancier pour l’ar-
rêter, pendant que la partie O de cet encli&age entre
dans la piatine du bariiiet, qui ne fait tourner l’arbre
qu’après avoir pouilé îa detente G qui ia faic sortir de
son entaille, ôc dans laquelle elie ne rentre qu’aprèsla
révolution entiere de raiguilie ôc de cette même pla-,
que, qui marchent ensemble. La piece N (fig. 4.) sert
à terminer la rencontre , & il faut observer que Fenclic-
tage soit fait de 3 o dents e'gales à la division du cadran \
saiguille bat chaque seconde en 3 temps.
Le pignon P qui tient à l’arbre de ia roue de ren-
contre Q , engrene dans la roue R, qui le fait mou-
voir ; c’est parconséquent de i’échappemenr que dépend
la juflesse de cette horloge qui se manifeste par les mou«
veniens de l’aiguiile.
La platine SS ( fig. 4 & y. ) efl fixée verticalement
sur la platine du cadran ; eile porte le coq T , sur le-
quel est une espece d’aiguüle V , attachée par une vis ,
dont la queue X efl garnie d’un petit crystal, contre
lequel porte le pivot de la roue de rencontre : il y a,
comme aux autres montres, un.cadran W (fig. 3 ) avec
son aiguiüe, qui méne un ratéau^ pour avancer ôc re-