DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1744
DOI Artikel:N. 465
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0352
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P__ qui ddpasient de part ôt d’autre le plan de la roue ; rni
17 homme, (comme on le voit dans ce desiein) suffit poür
N° 4.6e. ^ a faire niouvoir; c’est sur Faxe de cette roue que vient
s’entortiller la corde LN, ôt la corde KM vient de même
s’enrouler sur le treuil T, auquel on applique aussi un
homme. L’extrêmité Q de la bascule eû abaisîée, lorsqtie
Fon veut élever la cuilier I, par le secours d’un palan V,
frappé dans le fond du bateau y ôt le dormant du cable
dont ii est garni y eil placé en X ; ce cable y après avoir
passé sur les mousses d’en-bas en V, & sur la poulie de
renvoi en X, vient enfin s’enrculer autour du treuii Y.
Les deux bateaux A B sont entretenus à la distance dé-
terminée par la longrine Z, ôt quoiquil ne soit aucufîe
mention dans ce qu’a présenté sinventeur, qu’il y eut un
manche à la cuiller, il en paroît un W tiré par un hon>
me, dans le profil de cette machine, que ie sieur Macary
a fait graver- d’après lequel on a fait ce dessein. On trouve
dans la même gravure une matiiere fort simple d’enlever
!es sables ; 011 y emploie deux bateaux, qui portent cha-
cun un treuil ; ôt un troisième bateau placé entre les deux
autres , dans lequel esl un homme qui guide une cuilier
poussee & tirée alternativement par ies treuÜs des deux
autres bateaux ; mais comme ii n’ess point queflion de
cette invention dans ie certificat de l’Àcadèmie, je n’ai
pas cru devoir ia joindre icu Voici le jeu de la machine
principaie , que je viens de décrire.
Les bateaux supposés fixés, ôt bien assujettis ensem-
ble , on commence par lâcher avec précaution les roues
T, S, Y , ôt i’on fait tourner le quatrième treuii E du bar-
teau A; le cordage F G tire en arriere la cuiiler I à me-
sure qu’elie descend, jusqu’à ce qu’eile soit piacée à l’éloi-
gnement nécessaire; on fait ensuite tourner ie treuil T}>
pour l’e'lever par derriere, ôt l’obiiger à piquer du de--
vant; on abandonne pour lors le treuil E, Ôc l’on Taîr
jtourner ies roues S,T„ qui en tirant la cuillerl’obiigç
P__ qui ddpasient de part ôt d’autre le plan de la roue ; rni
17 homme, (comme on le voit dans ce desiein) suffit poür
N° 4.6e. ^ a faire niouvoir; c’est sur Faxe de cette roue que vient
s’entortiller la corde LN, ôt la corde KM vient de même
s’enrouler sur le treuil T, auquel on applique aussi un
homme. L’extrêmité Q de la bascule eû abaisîée, lorsqtie
Fon veut élever la cuilier I, par le secours d’un palan V,
frappé dans le fond du bateau y ôt le dormant du cable
dont ii est garni y eil placé en X ; ce cable y après avoir
passé sur les mousses d’en-bas en V, & sur la poulie de
renvoi en X, vient enfin s’enrculer autour du treuii Y.
Les deux bateaux A B sont entretenus à la distance dé-
terminée par la longrine Z, ôt quoiquil ne soit aucufîe
mention dans ce qu’a présenté sinventeur, qu’il y eut un
manche à la cuiller, il en paroît un W tiré par un hon>
me, dans le profil de cette machine, que ie sieur Macary
a fait graver- d’après lequel on a fait ce dessein. On trouve
dans la même gravure une matiiere fort simple d’enlever
!es sables ; 011 y emploie deux bateaux, qui portent cha-
cun un treuil ; ôt un troisième bateau placé entre les deux
autres , dans lequel esl un homme qui guide une cuilier
poussee & tirée alternativement par ies treuÜs des deux
autres bateaux ; mais comme ii n’ess point queflion de
cette invention dans ie certificat de l’Àcadèmie, je n’ai
pas cru devoir ia joindre icu Voici le jeu de la machine
principaie , que je viens de décrire.
Les bateaux supposés fixés, ôt bien assujettis ensem-
ble , on commence par lâcher avec précaution les roues
T, S, Y , ôt i’on fait tourner le quatrième treuii E du bar-
teau A; le cordage F G tire en arriere la cuiiler I à me-
sure qu’elie descend, jusqu’à ce qu’eile soit piacée à l’éloi-
gnement nécessaire; on fait ensuite tourner ie treuil T}>
pour l’e'lever par derriere, ôt l’obiiger à piquer du de--
vant; on abandonne pour lors le treuil E, Ôc l’on Taîr
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