DOI issue:
Recueil des Machines Année 1748
DOI article:N. 482/483
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0522
3$6 Recueil des Machines
où pasîe l’huile qui se trouve en trop grande quantitd
1748. dessus le porte-meche Y; il s’emboîte dans Tintérieur du
N°. 482 premier tuyau : les deux tuyaux VD & le pistonPML
& 483. tiennent tous ensemble, de maniere que quand on pompe,
*-— toute cette partie s’éleve ôc s’abaiïïe alternativement.
Le fer bianc est une matiere qu’ii est assez difficile
d’entretenir d’une certaine propreté , par rapport au
suintage auquel il est sujet ; d’ailleurs l’inventeur ayant
eu pour objet d’étendre l’usage de ces sortes de ssambeaux,
les a depuis faits en étain, & a commencé par leur donner
une forme plus gracieuse, comme on le voit par la flg. 1
de la planche 2 ; & pour ne point ternir le corps de la
bougie, qui doit être en émail, ôc fournir i’huiie avec
plus de facilité , il y applique une petite poire P , qui
tient à i’extrêmité d’un petit cordon Z, attaché au point W
du corps de pompes. (Voye^ les Développemens).
Cette pianche contient en détaii toutes les parties qui
composent le chandelier; elles ont été dessinées sur les
pieces même déveioppées par PAuteur. On ne fera donc
qu’indiquer simplement leurs posstions respe&ives.
Le binet A est à vis, & s’applique à la partie supé-<
rieure B de la tige. La vis C entre dans l’écrou D ; la
piece D F , aussi longue que la tige du chandelier, porte
à l’extrêmité F de ce corps de pompe la soupape E ; G H
est une conduite qui entre dans le corps de pompe D F 3
elle a aussi sa soupape O.
La piece IK se soude à Fextrêmité G ; le bassin L eü
en vis intérieurement pour recevoir la vis M : M N efl:
la représentation de labougie, en verre e'maiüé, qui imite
la bougie en grossseur, blancheur & transparence.
Y, plancher que l’on place sur la partie K; & sur ce
plancher, on établit le corps de lampe Q ; c’est où l’on
enferme la meche.
R, porte-meche qui s’ajuste sur la vis du corps de
lampe Q,
où pasîe l’huile qui se trouve en trop grande quantitd
1748. dessus le porte-meche Y; il s’emboîte dans Tintérieur du
N°. 482 premier tuyau : les deux tuyaux VD & le pistonPML
& 483. tiennent tous ensemble, de maniere que quand on pompe,
*-— toute cette partie s’éleve ôc s’abaiïïe alternativement.
Le fer bianc est une matiere qu’ii est assez difficile
d’entretenir d’une certaine propreté , par rapport au
suintage auquel il est sujet ; d’ailleurs l’inventeur ayant
eu pour objet d’étendre l’usage de ces sortes de ssambeaux,
les a depuis faits en étain, & a commencé par leur donner
une forme plus gracieuse, comme on le voit par la flg. 1
de la planche 2 ; & pour ne point ternir le corps de la
bougie, qui doit être en émail, ôc fournir i’huiie avec
plus de facilité , il y applique une petite poire P , qui
tient à i’extrêmité d’un petit cordon Z, attaché au point W
du corps de pompes. (Voye^ les Développemens).
Cette pianche contient en détaii toutes les parties qui
composent le chandelier; elles ont été dessinées sur les
pieces même déveioppées par PAuteur. On ne fera donc
qu’indiquer simplement leurs posstions respe&ives.
Le binet A est à vis, & s’applique à la partie supé-<
rieure B de la tige. La vis C entre dans l’écrou D ; la
piece D F , aussi longue que la tige du chandelier, porte
à l’extrêmité F de ce corps de pompe la soupape E ; G H
est une conduite qui entre dans le corps de pompe D F 3
elle a aussi sa soupape O.
La piece IK se soude à Fextrêmité G ; le bassin L eü
en vis intérieurement pour recevoir la vis M : M N efl:
la représentation de labougie, en verre e'maiüé, qui imite
la bougie en grossseur, blancheur & transparence.
Y, plancher que l’on place sur la partie K; & sur ce
plancher, on établit le corps de lampe Q ; c’est où l’on
enferme la meche.
R, porte-meche qui s’ajuste sur la vis du corps de
lampe Q,