À P P R 0 U V Ê E S P A R l’ÂCADÉMïË. 427
fchde une partie 11 de cuivre, laquelle porte un petit
pont r qui fait une espece de cage pour l’étoiie E fendue
en vingt parties. Cette étoile porte un pignon à lanterne
de quatre dents, qui engrene dans ia roue b du temps
vrai; c’est en faisant tourner Fétoile de Tun ou de i’autre
côté, que l’on fait avancer ou retarder la roue du temps
vrai, iàns que celle du temps moyen se meuve. Le
levier F Z T mobile au point Z , sert à produire cette
variation. La partie T de ce levier porte deux chevilles;
ceiie de ia partie supérieure sert à faire retarder Faiguille
du temps vrai, ôc l’autre au contraire à la faire avancer.
Ce sont les différens diametres de la piece O O taillée en
limaçon, qui détermine la quantité de dents qssune des
chevilles doit faire passer, ôc dans quel sens elie doit le
faire. Ces pas de limaçon sont déterminés par l’équation
du jour : chaque pas de la piece O O comme q sert pen-
dant que séquation est constante ; ( puisque tous ces pas
sont formés par des portions de cercle concentriques
à la roue annuelle, Ôc par conséquent à la piece O fixée
sur la roue annuelle ), ôc ils changent_ lorsque i’équa-
tion varie.
Lelevier FZTpeut semouvoir non-seulement en tour-
nant sur ses pivots, mais encore monter ôc baisser suivant
leur longueur : l’assiette de ce levier repose sur la piece
a a. Cette piece a une entaille a: , qui se présente à
l’assiette à chaque vingt-quatre heures, à onze heures du
soir, ôc lui permet de s’y enfoncer : alors le levier pré-
sente l’une ou l’autre de ses chevilles à rétoile E, qui,
emportée par la roue des minutes du temps moyen , ren-
contre une des chevilles du levier T, laquelle s’engage
entre les rayons de l’étoile, ôc la fait tourner plus ou
moins, suivant que la cheville se présente loin ou près
du centre. C’est cette quantité qui représente l’équation
diurne : à minuit, l’entaille dans laquelle Tassiette étoit
descendue, çontinuant à s’y mouvoir, fait remonter le.
, Hhhij
'7)2.
N0.488.
fchde une partie 11 de cuivre, laquelle porte un petit
pont r qui fait une espece de cage pour l’étoiie E fendue
en vingt parties. Cette étoile porte un pignon à lanterne
de quatre dents, qui engrene dans ia roue b du temps
vrai; c’est en faisant tourner Fétoile de Tun ou de i’autre
côté, que l’on fait avancer ou retarder la roue du temps
vrai, iàns que celle du temps moyen se meuve. Le
levier F Z T mobile au point Z , sert à produire cette
variation. La partie T de ce levier porte deux chevilles;
ceiie de ia partie supérieure sert à faire retarder Faiguille
du temps vrai, ôc l’autre au contraire à la faire avancer.
Ce sont les différens diametres de la piece O O taillée en
limaçon, qui détermine la quantité de dents qssune des
chevilles doit faire passer, ôc dans quel sens elie doit le
faire. Ces pas de limaçon sont déterminés par l’équation
du jour : chaque pas de la piece O O comme q sert pen-
dant que séquation est constante ; ( puisque tous ces pas
sont formés par des portions de cercle concentriques
à la roue annuelle, Ôc par conséquent à la piece O fixée
sur la roue annuelle ), ôc ils changent_ lorsque i’équa-
tion varie.
Lelevier FZTpeut semouvoir non-seulement en tour-
nant sur ses pivots, mais encore monter ôc baisser suivant
leur longueur : l’assiette de ce levier repose sur la piece
a a. Cette piece a une entaille a: , qui se présente à
l’assiette à chaque vingt-quatre heures, à onze heures du
soir, ôc lui permet de s’y enfoncer : alors le levier pré-
sente l’une ou l’autre de ses chevilles à rétoile E, qui,
emportée par la roue des minutes du temps moyen , ren-
contre une des chevilles du levier T, laquelle s’engage
entre les rayons de l’étoile, ôc la fait tourner plus ou
moins, suivant que la cheville se présente loin ou près
du centre. C’est cette quantité qui représente l’équation
diurne : à minuit, l’entaille dans laquelle Tassiette étoit
descendue, çontinuant à s’y mouvoir, fait remonter le.
, Hhhij
'7)2.
N0.488.