Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 7.1734/​54 (1777) [Cicognara, 917G]

DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1753
DOI Artikel:
N. 492
DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0603
Überblick
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
APPROUVÉES PAR l’AcADÉMIE. 4^7
iiîiîieu de la monture de la scie? ce qui lui donne le mou-
vement de droite à gauche , dans une diretlion perpendi- 17 >3.
culaire aux Hancs de la pile. N°.4,92.

II a déja été dit qu’il seroit établi des vannes pour ..-

donner le mouvement à la roue du moulin, par seifort
du courant qui viendra frapper les aubans de ladite roue:
la vîtesse qu’on juge sulEsante pour faire avancer la ma-
chine à mesure que la scie recepera les pilots, peut être
augmentée ou diminuée par le plus ou moins d’ouverture
du vannage ; & comme on ne peut rien fixer de ces me-i
sures, les circonfiances en faisant changer les effets, on
ne peut déterminer l’ouverture desdits vannages , pour
être réciproques aux surfaces que la machine oppose à
la vitesse du courant : ce sont des opérations qu’on pour-
ra faire lorsque ladite vîtesfe sera connue ; il suffit seule-
ment dans ce Mémoire de donner un moyen d’augmenter
ou diminuer ladite vîtesse , en opposant plus ou moins
de surface du moulin, afin de leur donner le rapport qu’il
leur convient avec l’ouverture du vannage.

Pour y parvenir, on pratiquera deux portes tournan-
tes D D , qui s’opposeront à la diredion du courant,
lorsque leurs surfaces seront présentées perpendiculaire-
ment audit courant, ainsi qu’elles le sont dans la fig. 1 ;

& au contraire s’il convient diminuer ies surfaces au
moyen des leviers XX, on peut donner une obliquité
plus ou moins grande à ces portes, ce qui diminuera la
surface de la machine autant qu ii conviendra. Ces port.es
n’ont point de vannes pratiquées dans leurs surfaces, ainsi
qu’ii efl: usité dans celles de quelques écluses ou elles sont
employées, ni pareillement de feillure dans les montans
& seuils pour leur servir de battement; parce qu’elles sont
destinées à se mouvoir de tous sens à l’effet de redresser
le moulin, s’il perdoit la dire£üç>n perpendiculaire au
courant, ce qui pourroit arriver si la scie faisoit plus de
progrès d’un côté que de sautre, ou pour d’autre cas, où
Rec, des Machims, Tome VII. M mm
 
Annotationen