Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]: Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent (7.1734/54 (1777)) [Cicognara, 917G]

kPPROUVËES PAR l'ÂCÀDÊMïE;

±6$

NOUVEAU TOUR

A TIRER LA SOIE DES COCONS-

1 N V E N T Ê

17

N°. 466,

PAR M. ROUVIERE.

CE tour est composé d’un seul haspe ou dévidok
AB, monté sur un chastis CD , soutenu par deux
ichevalets que l’on peut approcher ou éloigner de la
iroue E, ôc on les fixe dans ia position que son sou-»
haite par des coins, de la même maniere dont on ar-
£ete les poupées d’un tour ordinaire.

L’arbre de Ehaspe, qui peut tourner librement dans
les chevalets qui le soutiennent, porte à son extrêmi-
té un rouet de poulie I, ( fig. i Ôc 2.) sur laquelle
passe une corde sans fin , qui enveloppe de même la
roue E: la poulie I est à îa roue E comme 1 à 7,
par conséquent l’haspe fait 7 tours pour un de la roue
E. On fait tourner cette roue par îe moyen d’une ma-
nivelle F ajustée à l’extrêmité ae son arbre ; à son au-
tre extrêmité G est une lanterne qui engrene dans un
hérifîon K ( fig. 1. ) dont l’arbre vertical LM afîujettî
à la cage de la machine porte un plateau N : sur ce pla-
teau ôc à deux pouces du centre, est adapté le va-
6c-vient OPRST ( fig. 1 ôc 2. ) îequel est composé de
deux piéces droites qui tiennent aux branches SP d’une
équerre fixée par son sommet sur un petit cyündre R ;
çependant l’équerre est mobiîe sur son centre, de mê-».
me que les autres branches du va-ôc-vient le sont au-
^our des cloux quî les astemblent; le tout est mainten^
Keç, des Mackinest XomeVII. EI