52 Recueil des Machines
Cette machine a été proposée pour ia conslruire suï
17 3 la Seine à Paris; & afin de la rendre plus parfaire que tou-
N°. qj i. tes ies autres de cette espece , rinventeur change ies points
-de tirage des balanciers, parce que cette riuere varie
coniidérabiement en force. L'on vèrra par ie certhicat
ci-après que FAcadémie approuve comme nouveai ces
points de tirage, de même que sa composition qui est
fort simple , par là moins sujette à réparation t a laisser
perdre ia force : d’ailleurs cette machine a qüelques r2p-
ports à diverses inventions présentées pour ie même usage,
comme, par exempie, la machine inventée, par M. Bou-
logne, que l’on trouve décrite dans le 6 vol. de ceRecueil
pag. i y : eiie resfemble encore asfez à une seconde machine
dans le même vol. pag. ip, de M. Saulon : ce même mé-
chanisme, ou à-peu-près, se trouve aussi dans la machine
exécutée à Source en Alsace , décrite dans le deuxieme
voi. de l’Architeèture hydrauiique, art. 5)82, pag. 137.
L’exécution de cette machine nayant point eu lieu ,
on ne peut faire de calcui sur la quantité d’eau qu’elle
seroit capable de fournir, à moins qu’on ne lui suppose
des dimensions relatives i°. à ia force du courant, dont
on se serviroit pour la faire agir ; 2 0. à la quantité d'eau
que i’on voudroit éiever; & 3 0. à la hauteur des cuvet-
tes de distribution : en ce cas ii sera bon de consulter,
& de suivre même les maximes prescrites dans le chapit.
III du 2 e vol. de i’Architeèture hydraulique, où l’on donnc
unt defcription générale des pompes de toutes fortes d’espece ,
aftn d 5en tirer ceiles qui conviendroient le mieux dans
cette machine : on traite aussi dans ce même chapitre,
de Tapplication & de différentes construètions de piston
êt de soupapes. L’on suppose ici que préalablement Ton
ait une çonnoissance sufîisante des art. 5^3 , $9^> S9S
& S97 du premier volume de lamême Architeèture hy-
drauiique, qui tous contiennent des principes pour ré-
tabüssement d’une machine mue par un courant; laprin-
cipaiq
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Cette machine a été proposée pour ia conslruire suï
17 3 la Seine à Paris; & afin de la rendre plus parfaire que tou-
N°. qj i. tes ies autres de cette espece , rinventeur change ies points
-de tirage des balanciers, parce que cette riuere varie
coniidérabiement en force. L'on vèrra par ie certhicat
ci-après que FAcadémie approuve comme nouveai ces
points de tirage, de même que sa composition qui est
fort simple , par là moins sujette à réparation t a laisser
perdre ia force : d’ailleurs cette machine a qüelques r2p-
ports à diverses inventions présentées pour ie même usage,
comme, par exempie, la machine inventée, par M. Bou-
logne, que l’on trouve décrite dans le 6 vol. de ceRecueil
pag. i y : eiie resfemble encore asfez à une seconde machine
dans le même vol. pag. ip, de M. Saulon : ce même mé-
chanisme, ou à-peu-près, se trouve aussi dans la machine
exécutée à Source en Alsace , décrite dans le deuxieme
voi. de l’Architeèture hydrauiique, art. 5)82, pag. 137.
L’exécution de cette machine nayant point eu lieu ,
on ne peut faire de calcui sur la quantité d’eau qu’elle
seroit capable de fournir, à moins qu’on ne lui suppose
des dimensions relatives i°. à ia force du courant, dont
on se serviroit pour la faire agir ; 2 0. à la quantité d'eau
que i’on voudroit éiever; & 3 0. à la hauteur des cuvet-
tes de distribution : en ce cas ii sera bon de consulter,
& de suivre même les maximes prescrites dans le chapit.
III du 2 e vol. de i’Architeèture hydraulique, où l’on donnc
unt defcription générale des pompes de toutes fortes d’espece ,
aftn d 5en tirer ceiles qui conviendroient le mieux dans
cette machine : on traite aussi dans ce même chapitre,
de Tapplication & de différentes construètions de piston
êt de soupapes. L’on suppose ici que préalablement Ton
ait une çonnoissance sufîisante des art. 5^3 , $9^> S9S
& S97 du premier volume de lamême Architeèture hy-
drauiique, qui tous contiennent des principes pour ré-
tabüssement d’une machine mue par un courant; laprin-
cipaiq
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