ÀPPROUVÉES PAR l’ÀCADEMI'E. 87
6c par conséquent TefFort en P sera à la résistance com-
me V 0?estàOP; c’est-à-dire j comme neuf pouces e.st 1740.
à 78 pouces ; la puiiTance sera de i-io iivres 011 N°.43p.r
environ à i’extrêmité P , qui partagée à deux hommes -
sont 70 pour . chacun.
Comme ii ne faut pas negliger de caicuier les srot-
temens des parties de cette Machine 5 qui en sont suscep-
tibles 5 on y appiiauera les principes généraux, & répan-
dus dans pîusieurs ouvrages de méchaniqne, 6c entr’au-
tres, le premier volume de TArchitedlure Hydraulique
Chap. ÏI. qu’ii convient de consulter, parce qu’il raisem-
ble ce que lesautres ont dit sur cette rnatiere. C’est dans :
ce même volume, Art. 769, qu’on trouvera la deicrip-
tion d’une machine construite sur le même principe ,
& à laquelle ceüe de M. Dupuy ressemble beaucoup.,
ïci ce sont des étriers qui font mouvoir les piateaux,
& là c’est un manche appiiqué à l’endroit de la char-
niere, Ôc îe piateau est de même percé d’un trou rond,
fermé par une soupape ; eüe a bien du rapport à ceüe
dont on fait mention dans ie certificat ci-après, & que
l’on décrit d’après Ramelly que son cite à cette occa-
sion. M. de ia Fond, dire&eur des fortifications des pia-
ces maritimes de Fiandre à Dunkerque , m’a asfuré que la
machine de M. Dupuy avoit été exécutée en 1741 à
Graveiines, dans la construdion du canal à la mer, & de
la nouveüe écluse, & que cette Pompe n’a pas eu à beau-
coup près le succès que l’on s’en étoit promis; qu’il a
faüu en abandonner Tusage, pour revenir à celles des;
Pompes ëc des moulins ordinaires»
RAPPORT DES COMMISSAIRES.
LE Mardi 20 Décembre 1740, Messieurs Nicole'y
Camus 6c de Fouchy, ont parié ainss sur une Ala-
chine de feu M, Dupuy, M e,. des Requêtes».
6c par conséquent TefFort en P sera à la résistance com-
me V 0?estàOP; c’est-à-dire j comme neuf pouces e.st 1740.
à 78 pouces ; la puiiTance sera de i-io iivres 011 N°.43p.r
environ à i’extrêmité P , qui partagée à deux hommes -
sont 70 pour . chacun.
Comme ii ne faut pas negliger de caicuier les srot-
temens des parties de cette Machine 5 qui en sont suscep-
tibles 5 on y appiiauera les principes généraux, & répan-
dus dans pîusieurs ouvrages de méchaniqne, 6c entr’au-
tres, le premier volume de TArchitedlure Hydraulique
Chap. ÏI. qu’ii convient de consulter, parce qu’il raisem-
ble ce que lesautres ont dit sur cette rnatiere. C’est dans :
ce même volume, Art. 769, qu’on trouvera la deicrip-
tion d’une machine construite sur le même principe ,
& à laquelle ceüe de M. Dupuy ressemble beaucoup.,
ïci ce sont des étriers qui font mouvoir les piateaux,
& là c’est un manche appiiqué à l’endroit de la char-
niere, Ôc îe piateau est de même percé d’un trou rond,
fermé par une soupape ; eüe a bien du rapport à ceüe
dont on fait mention dans ie certificat ci-après, & que
l’on décrit d’après Ramelly que son cite à cette occa-
sion. M. de ia Fond, dire&eur des fortifications des pia-
ces maritimes de Fiandre à Dunkerque , m’a asfuré que la
machine de M. Dupuy avoit été exécutée en 1741 à
Graveiines, dans la construdion du canal à la mer, & de
la nouveüe écluse, & que cette Pompe n’a pas eu à beau-
coup près le succès que l’on s’en étoit promis; qu’il a
faüu en abandonner Tusage, pour revenir à celles des;
Pompes ëc des moulins ordinaires»
RAPPORT DES COMMISSAIRES.
LE Mardi 20 Décembre 1740, Messieurs Nicole'y
Camus 6c de Fouchy, ont parié ainss sur une Ala-
chine de feu M, Dupuy, M e,. des Requêtes».