224- Recueil des Machines
, Ces machines sont contenues aans un bateau ÀB
1744.' (fig. 1 ) ; à la partie B sont les foulons, composés de
N°,4<52. quatre maillets C D , C D, ( fig. 1 ôt 2. ) suspendus par
--leurmanche à des traverses telles que E F : la partie C de
ce manche qui porte sur la traverse, est taillée en cou-
teau, de maniere qu’il a sur cette tranche un mouve-
ment de charniere, lorsque les mantonnetsl, 1,1, fixés
à l’arbre horisontal G H, que les vannes L, K mues
par le courant font tourner, attrapent l’extrêmité D ,
par le tenon en delsous de la masse qui bat dans le mor-
tier M : à côté de ces mêmes mortiers, l’on place des
gouttieres N O, qui fournissent continuellement de
l’eau sur l’étofle que l’on veut dégorger. On voit par
le prôfil de l’arbre horisontal ( fig. 3. ), qu’il y a quatre
mantonnets par chaque foulon sur la circonférence, ÔC
qui servent à les élever successivement.
La machine à friser est établie au milieu du même
LateüU : cllc csl cnfcrmvsc daiiô unc cspcce de C3ge ,
ôc composée d’une seule roue à vanne P , à l’arbre
de laquelle est fixé le rouet Q qui engrene dans la lan-
terne R , fortement attachée au dos d’une roue de champ
S, d’un diametre ôc d’un nombre ëgal à la seconde roue
de champ S, d’un diametre ôc d’un nombre égal à la
seconde roue de champ T ; ces trois pieces sont centrées
ôc fixées sur le même arbre, qui porte de même à son ex-
trêmité une seconde lanterne V d’un diametre plus pe-
tit que la premiere lanterne R ; les deux roues de champ
S T ménent les deux lanternes verticales X, X , dont les
arbres sont engagés dans une planche Y Y, (fig. 4.) quî
frise la ratine : les extrêmités supérieures des arbres de
ces lanternes sont taillées en excentrique, ôc s’enga-
gent dans des trous pratiqués aux deux bouts de la plan-
che , de sorte que parles révolutions des lanternes, les
pivots font fonâion de maniveile, ôc procurent un mou-
vement de trépidation parallele à celie même qui fait
, Ces machines sont contenues aans un bateau ÀB
1744.' (fig. 1 ) ; à la partie B sont les foulons, composés de
N°,4<52. quatre maillets C D , C D, ( fig. 1 ôt 2. ) suspendus par
--leurmanche à des traverses telles que E F : la partie C de
ce manche qui porte sur la traverse, est taillée en cou-
teau, de maniere qu’il a sur cette tranche un mouve-
ment de charniere, lorsque les mantonnetsl, 1,1, fixés
à l’arbre horisontal G H, que les vannes L, K mues
par le courant font tourner, attrapent l’extrêmité D ,
par le tenon en delsous de la masse qui bat dans le mor-
tier M : à côté de ces mêmes mortiers, l’on place des
gouttieres N O, qui fournissent continuellement de
l’eau sur l’étofle que l’on veut dégorger. On voit par
le prôfil de l’arbre horisontal ( fig. 3. ), qu’il y a quatre
mantonnets par chaque foulon sur la circonférence, ÔC
qui servent à les élever successivement.
La machine à friser est établie au milieu du même
LateüU : cllc csl cnfcrmvsc daiiô unc cspcce de C3ge ,
ôc composée d’une seule roue à vanne P , à l’arbre
de laquelle est fixé le rouet Q qui engrene dans la lan-
terne R , fortement attachée au dos d’une roue de champ
S, d’un diametre ôc d’un nombre ëgal à la seconde roue
de champ S, d’un diametre ôc d’un nombre égal à la
seconde roue de champ T ; ces trois pieces sont centrées
ôc fixées sur le même arbre, qui porte de même à son ex-
trêmité une seconde lanterne V d’un diametre plus pe-
tit que la premiere lanterne R ; les deux roues de champ
S T ménent les deux lanternes verticales X, X , dont les
arbres sont engagés dans une planche Y Y, (fig. 4.) quî
frise la ratine : les extrêmités supérieures des arbres de
ces lanternes sont taillées en excentrique, ôc s’enga-
gent dans des trous pratiqués aux deux bouts de la plan-
che , de sorte que parles révolutions des lanternes, les
pivots font fonâion de maniveile, ôc procurent un mou-
vement de trépidation parallele à celie même qui fait