ÀPPROUVÉES PAR L*ACADÉMIE. 3Ç1
tcmber fur le voinçon, & on marquera sur le limbe le premier
point de la divifon sxe, On sera marquer en même temps 1746’.
au second poinçon un point pareil sur l’èpaijseur du limbe: N°. 477.
on tronsportera ensuite l’alidade, le microfcope & le poinçon -
au point suivant, éloigné du précédent d’un degré, & on le
marquera de la même maniere, tant fur le limbe que sursoti
èpaijseur i on divifera ainfi tout le iimbe.
II saut remarquer qu’indèpendamment de la hauteur dèter-
minèe pour l’èlèvation du marteau, cliaque poinçon porte
encore un petit plateau qui dètermine aujsi l’enfoncement de
la pointe j par consèquent les poitits de divison Jeront toujours
d’une parfaite ègalitè. Quand mème le poinçon ne feroit pas
perpendiculaire au limbe , comrae c’eft l’alidade qui le con-
duit fur tout le limbe, les points feront tous inclinès de la
même maniere , & par conjèquent ils jerotit à une diflance
exacle.
Quand les points feront placès , la machine de M. Gra-
ham, (sig. 4. ) qui aura servi à dreser le limbe, servira enco-
rt à le pohr , afin de ne pcint ujer un point plus que l’autre.
Le point mobde, lorjqu’iL change de place quand on tourne
la vis qui le porte , parcoure un très-petit arc; c’esi peut-être
la dixieme partie de ce même point $ ainfi la difiance du centre
du quart-de-cercle, ne change presque pas fenfiblement ;
mais quand même cette difiance changeroit Jenkblement ,
cela ne produira aucune erreur, parce que la foie du microscope
esi placèe de maniere qu’elle si'ait partie d’un rayon du quart-
de-cercle.
11 saudra après cela (fig. 8.) diviser tous ces degrès de
cinq minutes en cinq minutes, par le moyen d’un micrometre
dont voici la confiruciion.
A B efi une plaque de cuivre sur laquelle fe meut une pe-
tite regle G qui porte un ècrou D qui efi sièndu, asm de siaire
rejjort & d’embmjser plus exaclement la vi.s E, qui porte un
bouton F pour le saire tourner. C I ejt une plaque ronde di~
visièe en cent parties} qui fiert de cadran pour compter ks
tcmber fur le voinçon, & on marquera sur le limbe le premier
point de la divifon sxe, On sera marquer en même temps 1746’.
au second poinçon un point pareil sur l’èpaijseur du limbe: N°. 477.
on tronsportera ensuite l’alidade, le microfcope & le poinçon -
au point suivant, éloigné du précédent d’un degré, & on le
marquera de la même maniere, tant fur le limbe que sursoti
èpaijseur i on divifera ainfi tout le iimbe.
II saut remarquer qu’indèpendamment de la hauteur dèter-
minèe pour l’èlèvation du marteau, cliaque poinçon porte
encore un petit plateau qui dètermine aujsi l’enfoncement de
la pointe j par consèquent les poitits de divison Jeront toujours
d’une parfaite ègalitè. Quand mème le poinçon ne feroit pas
perpendiculaire au limbe , comrae c’eft l’alidade qui le con-
duit fur tout le limbe, les points feront tous inclinès de la
même maniere , & par conjèquent ils jerotit à une diflance
exacle.
Quand les points feront placès , la machine de M. Gra-
ham, (sig. 4. ) qui aura servi à dreser le limbe, servira enco-
rt à le pohr , afin de ne pcint ujer un point plus que l’autre.
Le point mobde, lorjqu’iL change de place quand on tourne
la vis qui le porte , parcoure un très-petit arc; c’esi peut-être
la dixieme partie de ce même point $ ainfi la difiance du centre
du quart-de-cercle, ne change presque pas fenfiblement ;
mais quand même cette difiance changeroit Jenkblement ,
cela ne produira aucune erreur, parce que la foie du microscope
esi placèe de maniere qu’elle si'ait partie d’un rayon du quart-
de-cercle.
11 saudra après cela (fig. 8.) diviser tous ces degrès de
cinq minutes en cinq minutes, par le moyen d’un micrometre
dont voici la confiruciion.
A B efi une plaque de cuivre sur laquelle fe meut une pe-
tite regle G qui porte un ècrou D qui efi sièndu, asm de siaire
rejjort & d’embmjser plus exaclement la vi.s E, qui porte un
bouton F pour le saire tourner. C I ejt une plaque ronde di~
visièe en cent parties} qui fiert de cadran pour compter ks