APPROUVÉES PAR ï/ÂCADÉMIE. $$$
peu longue ; mais comme elle intéresse particuliérement —.
îes Astronomes & les Artistes en ce genre, on ne sçauroit 1
entrer dans des détails trop circonstanciés ; & s’il leur N° 47J.
restoit encore quelques éclaircissemens à desirer, ils pour- '
roient s’adresser à M. Passement, ( ou plutôt à ses successeurs
qui demeurent adluellement Cour du vieux Louvre audefîus
de FAcadémre Françoise : ) iis s’offrent de même à faireexé-
cuter ces quarts-de-cercle sousleurs yeux, ou à fournir les
télescopes que l’on voudra y appliquer : ils en ont de six pou*
cesdeiongueur,deneufpouces,d’unpied,deseizepouces,
detrente-deuxpouces,decinqpieds, & même de huità dix
pieds.
Je ne dois pas omettrede joindre ici le jugement de
PAcadémie , sur toutes les découvertes de M. Passement
dont il vient d’être question : l’on trouvera de suite
la réponse aux objediions contenues dans le certificat
d’approbation.
Extrait des Regislres de l’Académie Royale des Sciençes.
Du 12 Avril 174^.
MEssieurs Bouguer & le Monier, qui avoient été
nommés pour examiner un Mémoire de M. Passe-
ment, sur la division d’un quart-de-cercle, auquel est:
appliqué le télescope de réssexion , en ayant fait leur
rapport, l’Académie a jugé que la maniere de diviser
par des points placés chacun sur l’extrêmité d'une vis,
telle que le propose M. Passement, étoit ingénieuse ÔC
utile, en ce qu’elle procure des points mobiles qui faci-
litent le moyen de portcr la division à une grande justesse.
Que quoique la méthode de védfier la division avec
le microscope ne soit pas nouvelle, la position qu îl donne
à son microscope, & l’expédient de marquer les points
sur l’épaisseur du limbe, étoient des moyens de la rendre
plus siare.
Et qu’à l’égard de Tapplication qu il prdtend faire
Yyij
peu longue ; mais comme elle intéresse particuliérement —.
îes Astronomes & les Artistes en ce genre, on ne sçauroit 1
entrer dans des détails trop circonstanciés ; & s’il leur N° 47J.
restoit encore quelques éclaircissemens à desirer, ils pour- '
roient s’adresser à M. Passement, ( ou plutôt à ses successeurs
qui demeurent adluellement Cour du vieux Louvre audefîus
de FAcadémre Françoise : ) iis s’offrent de même à faireexé-
cuter ces quarts-de-cercle sousleurs yeux, ou à fournir les
télescopes que l’on voudra y appliquer : ils en ont de six pou*
cesdeiongueur,deneufpouces,d’unpied,deseizepouces,
detrente-deuxpouces,decinqpieds, & même de huità dix
pieds.
Je ne dois pas omettrede joindre ici le jugement de
PAcadémie , sur toutes les découvertes de M. Passement
dont il vient d’être question : l’on trouvera de suite
la réponse aux objediions contenues dans le certificat
d’approbation.
Extrait des Regislres de l’Académie Royale des Sciençes.
Du 12 Avril 174^.
MEssieurs Bouguer & le Monier, qui avoient été
nommés pour examiner un Mémoire de M. Passe-
ment, sur la division d’un quart-de-cercle, auquel est:
appliqué le télescope de réssexion , en ayant fait leur
rapport, l’Académie a jugé que la maniere de diviser
par des points placés chacun sur l’extrêmité d'une vis,
telle que le propose M. Passement, étoit ingénieuse ÔC
utile, en ce qu’elle procure des points mobiles qui faci-
litent le moyen de portcr la division à une grande justesse.
Que quoique la méthode de védfier la division avec
le microscope ne soit pas nouvelle, la position qu îl donne
à son microscope, & l’expédient de marquer les points
sur l’épaisseur du limbe, étoient des moyens de la rendre
plus siare.
Et qu’à l’égard de Tapplication qu il prdtend faire
Yyij